Un père admirable (14)
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Thea, Source: Xstory
... lèvres et ma langue savouraient doucement son cou et ses seins tandis que mes mains la déshabillaient lentement, en caressant son corps. J’écartai ses belles jambes et son tanga trempé d’envie. Je passai ma langue entre ses lèvres brillantes. Ma belle gémit aussitôt. Je lui léchai goulûment son clito tout dur et gonflé.
— Oh... Papa ! jouit-elle rapidement en s’agrippant sauvagement à mes cheveux.
Un violent orgasme tendit son corps vers ma bouche et mon doigt, que j’insérai doucement en elle. Ses mains attirèrent mon visage contre son minou. Je suffoquais tandis que sa liqueur inondait ma bouche. Je risquais de me noyer pendant que ma fille hurlait de plaisir. Ce serait, à coup sûr, la plus belle mort.
Jessica me lâcha enfin ; j’enfonçai ma langue dans son intimité et bu sa mouille sucrée. Je faisais des va-et-vient rapides et profonds avec mon doigt dans son intimité soyeuse. Je léchais son clito et m’enivrais de sa liqueur abondante. De nombreux orgasmes secouaient son merveilleux corps vibrant entre mes lèvres. Sa peau frissonnait de plaisir. Ma fille se tortillait pour tenter d’échapper à ma bouche gourmande. Je la retenais et la maintenais fermement entre mes bras. Elle capitula et s’abandonna totalement, les mains cramponnées à mes cheveux. On devait sûrement entendre ses cris qui résonnaient dans l’habitacle, mais qu’importe, j’adorais la faire jouir !
— Papa, stop ! J’en peux plus... dit-elle, aphone.
Je relevai la tête ; mes yeux rencontrèrent les ...
... siens, brillants d’extase. Je souris devant son ravissement et embrassai la naissance de ses petites lèvres. Son délicieux clito vibra sous la douce caresse.
Je me relevai sur mon siège. Ma fille se rhabilla et vint se blottir dans mes bras. Elle remarqua ma chemise et ma cravate souillées de sa liqueur. Je l’essuyai sur mon menton du bout des doigts, que je léchai en fixant ses yeux. Elle m’embrassa tendrement ; le goût de son intimité se mêlait à nos salives... J’arrêtai la caresse de sa main sur la toile de mon pantalon, tendue par une belle érection.
— Pas maintenant ; j’ai besoin de toutes mes forces pour mon entraînement, murmurai-je entre ses lèvres. Après, si tu veux.
Elle me regarda, surprise que je la repousse.
— Ne t’inquiète pas : la pression va redescendre doucement, dis-je, sûr de moi.
Une heure plus tard, j’étais dans le dojo installé dans mon garage, en kimono blanc. Je m’étais échauffé et répétais mes mouvements d’attaque et d’esquive lorsque ma fille fit son entrée. Elle s’assit sur le sol, face à moi. J’évitais son regard fasciné et admiratif, me concentrant uniquement sur ma force et l’énergie que je transmettais aux coups que je donnais à un adversaire imaginaire. Je me déplaçais rapidement, les yeux fixés sur un point invisible. Mon corps se mouvait en une danse puissante et redoutable.
Des clapotis indécents firent écho à mes cris virils. Ma fille avait passé une main sous son tanga. À travers la fine dentelle, je pouvais voir ses doigts ...