Le cul de Suzon
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
fsodo,
aliments,
portrait,
attirautr,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... c’est pour ça qu’il se cache derrière cette toison rousse, visiblement taillée de frais. Pas trop pourtant, pour conserver un voile pudique sur sa fente brillante, mais quand même assez pour révéler la coquetterie de sa maîtresse. Et lorsqu’on écarte le rideau des poils humides et entremêlés, on découvre les grandes lèvres rondes, juteuses, aussi appétissantes que vos fesses. Avec vos cuisses ainsi écartées, elles ont bien du mal à protéger l’entrée de ce palais dont les chairs irisées tremblent sous mes doigts. Vos petites lèvres largement ouvertes sont plutôt discrètes, tout en étant bien découpées. Je suis sûr que lorsque votre chatte est fermée, on les distingue à peine entre ces grosses lèvres joufflues. Et que dire de votre clitoris qui se dresse comme un phare au sommet de la crevasse brillante, et que je fais rouler entre mes doigts, que j’étire et que j’écrase pour notre plus grand plaisir. J’aimerais que vous puissiez admirer, comme je le fais, la beauté de vos chairs offertes à mes regards. Cette bouche béante et brillante qui se contracte au rythme de votre plaisir, ces liqueurs qui s’écoulent entre vos cuisses pour venir rejoindre votre petit trou. Vous les sentez n’est-ce pas ?
J’ai avancé ma bouche et je lui ai léché la chatte avec délectation, longuement, patiemment, m’abreuvant au bouillon salé de sa jouissance, jusqu’à ce qu’elle crie grâce et me repousse en me suppliant de la baiser une bonne fois pour toutes ! J’ai éclaté de rire avant de la retourner ...
... une dernière fois. Je n’ai pas dû lui en dire plus, elle m’a d’elle-même offert son cul dressé, la tête enfoncé dans les draps, impatiente d’accueillir ma grosse queue dans son volcan brûlant. Après avoir enfilé un préservatif, je me suis agenouillé derrière elle, pour me glisser entre ses cuisses et pénétrer jusqu’à la garde dans sa bouche gourmande. Elle a fait tout le travail, s’agitant comme une possédée sur ce manche qui lui traversait le con, claquant frénétiquement ses fesses contre mon ventre, râlant, jurant, rivalisant avec Esparbec à qui serait le plus cru des deux.
J’aurais pu me laisser aller et rejoindre l’extase à mon tour. Mais, tandis que mon pouce lubrifié de ses liqueurs lui assouplissait la rondelle, je me préparais à partir à l’assaut de l’« ultime frontière » comme aurait dit le Capitaine Kirk.
Quand mon gland s’est posé sur le trou entrouvert de son cul, Suzon a brusquement contracté ses fesses, visiblement peu enthousiaste à l’idée de me laisser visiter cette partie de son anatomie. Mais j’ai l’habitude de ce genre de réaction chez les jeunes femmes un peu trop cérébrales, confondant dans un même dégoût le contenant et le contenu. Le plus efficace, dans ce genre de circonstances, est de donner un claque vigoureuse sur le cul de la belle. La surprise et l’éclair électrique qui lui traverse alors les chairs, suffisent à détendre le plus contracté des sphincters. Il n’y a plus qu’à accompagner le tout d’un petit coup de reins et l’affaire est faite, ...