Ouvertures !
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
fh,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
hdanus,
tutu,
couple,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... soin qu’une pierre précieuse. Tu me ruisselles sur les doigts, je sens ton jus glisser au creux de ma main. Il me brûle, il m’incite à te masser et à te malaxer encore plus fort. Tout ton corps se tend. Tu te plies à chacune de mes intrusions dans ton vagin. Tu tentes désespérément de serrer tes cuisses, de bloquer ma main carnassière mais tu n’y parviens pas. Tu continues de béer et de m’appeler. Tu gémis, tu halètes sans te retenir, comme si nous n’étions pas là, pas dans ce magasin de sous-vêtements à usage exclusivement coquin.
Tu t’effondres et t’agrippes à ma queue. Tu la malaxes, tu m’en arraches presque la peau, elle disparaît tout au bout de ma hampe. Tu broies ma verge, tu la transformes en une pompe infernale qui ne va pas tarder à gicler. Tu accélères ta pression infernale, tout éclate en moi. D’un seul coup nous tombons l’un sur l’autre dans un fracas qui me paraît assourdissant. Comme tu l’avais si bien prévu j’éjacule sans aucune retenue, expulsant généreusement ma semence. Elle jaillit violemment, bruyamment, à gros flots. Il faut que je me vide, que plus rien de ce liquide en fusion ne demeure en moi, que toute ma substance t’honore et te comble. Je contemple cette inondation impétueuse. Des filets étincelants, des gouttes translucides ou grasses envahissent ta toison, tes cuisses, ton ventre. Elles ont aussi été projetées sur le rideau de la cabine, par terre et même sur la glace où elles coulent encore. Comment sont elles arrivées là ?
— Je n’en peux ...
... plus. C’est comme si je venais d’exploser intérieurement. Je ne me suis pas contenue. J’ai ouvert toutes mes vannes. Poursuis Jean-Marie ! Entre en moi ! Comme cela, oui plus profondément encore. Mets ta main, rien ne va l’arrêter. Tu vois, je la mange cette malicieuse qui croyait que j’allais abdiquer avant toi. Eh bien non c’était tous les deux. Que penses-tu de mon essayage pas conventionnel du tout ? Dès que nous avons franchi la porte de ce magasin tout était possible. J’y tenais tant ! Et toi !
Tu te cambres sous mes assauts de plus en plus rapprochés. Mes doigts conquièrent ton sexe qui se referme peu à peu sur eux. Tu vacilles et tu tangues au rythme de mes avancées toujours plus audacieuses et appuyées. Ta chair me refuse tout autant qu’elle m’appelle. Tu te couvres de sueur et tu trembles alors que de toute part un feu charnel s’empare de toi. Tu t’abandonnes, tu te livres et c’est ma main qui accueille ton plaisir qui inonde ton ventre, ondoie tout le long de ton dos, secoue tes épaules, ploie ton cou, enflamme ton visage qui se crispe sous la force de la vague qui te submerge. Je ne peux pas t’abandonner en cet instant éblouissant, je reste en toi.
— Serre encore ma queue Françoise, longuement, doucement. Tu vois, elle t’attend encore, elle te désire, elle peut, elle aussi, s’enfouir en toi et te combler aussi bien si ce n’est mieux que mes doigts.
— Jean-Marie, ta verge est toujours vaillante, elle le sera encore longtemps, je me dirige ailleurs. Je rentre ...