Couple libertin - Histoires de Sexe

Couple libertin

... le long de l’été.

— Au début, je n’aimais pas trop, ça me stressait, dit-elle en rigolant tout le long de son monologue, le champagne aidant. Mais ensuite cela me plaisait de sortir ainsi, la chatte à l’air. Parfois, mon ex me caressait dans des endroits publics. Mais heureusement personne ne voyait, enfin j’espère, dit-elle tout sourire.

Elle a soudain le hoquet.

— Ce doit être l’alcool, s’empresse de dire Richard, tout gêné.

On voit qu’il est mal à l’aise, alors on se regarde avec Angèle et on décide de s’en aller, pour les laisser tous les deux. Ils auront sûrement des choses à se dire. Et ça risque de grincer dans la chaumière…

Quant à nous, une fois de plus excités, on commence à se toucher à peine la porte de l’appartement fermée. Je remonte la jupe d’Angèle, qui marche devant moi et je lui touche son joli petit cul. Je lui demande gentiment de bien vouloir enlever son string à dentelle et de me le tendre. Puis de rester le cul à l’air, tenant sa jupe à hauteur de la taille. Que je puisse la mater, ses fesses se dandinant de droite et de gauche. Ah je bande comme pas possible. Ma queue commence à se retrouver à l’étroit dans mon pantalon.

Arrivé à l’entrée du bâtiment, il nous reste encore quelques centaines de mètres à parcourir pour arriver jusque chez nous. Heureusement il fait nuit, ce qui permet à ma femme de soulever sa jupe pour ...

... m’aguicher. Sans culotte et sa chatte rasée me fait alors face. Je ne peux me retenir et approche ma bouche de cette dernière. La poussant légèrement près des buissons, je m’agenouille devant elle pour lui prodiguer un cunnilingus mémorable. Ses grandes lèvres qui dépassent de sa chatte sont avalées avec plaisir et mordillées doucement. Ce qui lui fait lâcher un petit cri…

Elle est tellement inondée, que du liquide glisse sur ses cuisses. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle jouisse dans ma bouche. C’est ce moment-là que je choisis pour me redresser et lui enfiler ma grosse queue que j’ai du mal à sortir de mon pantalon. Appuyée sur le tronc d’un arbre, à l’abri des buissons, je la lime quelques coups et je lâche ma semence rapidement, tellement je suis excité de l’instant présent.

On réajuste ensuite comme on peut notre accoutrement et on rentre chez nous comme si de rien n’était. Il était temps, une vieille dame était sortie de notre entrée pour aller promener son petit chien blanc.

On rit de bon cœur et je donne une petite tape à Angèle sur ses petites fesses tout en l’embrassant. Ah que la vie est belle, je me dis.

oooOOOooo

Depuis, on ne s’est plus vraiment revus, mais on a appris qu’elle avait largué Richard. On espère juste, nous, qu’elle reviendra chez nous, habillée comme quand elle était chez son ex… Et que des moments de pure folie vont s’ensuivre !