1. Où Patrick est entraîné par son fétichisme angora mohair


    Datte: 12/04/2020, Catégories: fh, essayage, caférestau, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, fdanus, confession, vêtements, Auteur: Xuodid, Source: Revebebe

    ... le capot de la voiture pour que je lui fasse minette. J’étais certain que l’on nous épiait.
    
    Le matin même de sa réception, elle me masturba jusqu’à éjaculation avec la longue écharpe en mohair multicolore dans la cabine d’essayage d’un grand magasin où j’essayai un pantalon. Avez-vous essayé la douce caresse d’une laine très fine (ne pas se tromper en la choisissant) sur votre gland dénudé ? La subtile sensation sur cette peau délicate, sensible et tendue par l’érection ou même la douce chaleur lorsque cela passe en votre entrejambe ? Je n’ai pas résisté longtemps. Autant par excitation que par peur d’être découvert. J’ai voulu faire arrêter Paula avant éjaculation, mais elle a continué jusqu’à ce que mon sperme gicle en abondance dans la laine.
    
    La vendeuse nous interpella à travers le rideau. Courroucée et suspicieuse, elle nous fit remarquer que nous avions été bien longs. Paula par provocation, après avoir réglé le prix du pantalon, arrangea l’écharpe afin que fussent visibles les douces mailles souillées de mon sperme, au grand effroi de la vendeuse stupéfaite de cette audace qui s’empressa de saisir l’interphone. Comme nous allions sortir sans demander notre reste, nous voici bloqués par un vigile maousse qui nous pria de le suivre sans résistance. Nous voilà dans les coulisses pris en charge par la chef du personnel qui nous conduisit dans son bureau. Belle femme dans la cinquantaine, l’air sévère avec son chignon. Nous voilà bien !
    
    — Vous savez que si nous ...
    ... appelons la police, tout cela peut aller loin ? Écrivez sur cette feuille : « Nous soussignons Paula… et Patrick… reconnaissons avoir pratiqué un acte sexuel dans la cabine du magasin… où nous nous engageons à ne plus revenir. Ce jour… signé… » Elle nous demanda de présenter l’écharpe souillée et nous prit en photo avec son smartphone. La feuille prit place dans un coffre. Nous pensions en avoir fini, mais non.
    — Si vous voulez vraiment que tout ceci reste entre nous, montrez-moi exactement ce que vous avez fait dans la cabine. !
    — Comment cela « exactement », dis-je ?
    
    Réponse :
    
    — Vous ne deviez pas porter de pantalon dans la cabine. Je vous fais un dessin ?
    
    J’enlevai donc le pantalon.
    
    — Mademoiselle, qu’attendez-vous ?
    
    Paula se baissa et attrapa mon sexe qui n’en menait pas large. Un peu d’ardeur, s’il vous plaît ! Le contact de l’écharpe me redonna du courage. La chef s’assit dans un fauteuil, releva son tailleur, baissa son string et commença sans fausse honte à se doigter, en nous matant.
    
    — Dépêchez, allez jusqu’au bout.
    
    Paula me fit signe de me magner et je finis par jouir à nouveau dans le doux lainage. Elle nous demanda l’écharpe, la renifla, la glissa entre ses jambes, se caressa la chatte vigoureusement avec la laine mêlée de mon sperme. Elle devint finalement toute rouge, on sentit l’orgasme monter et là, des giclées abondantes aspergèrent l’écharpe, elle coulait comme une fontaine. Stupéfaits, nous regardions cette femme-fontaine reprendre ...
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