1. Deuxième soirée bien arrosée chez Bettina


    Datte: 12/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Kaminu, Source: Hds

    ... Arrête, je vais en avoir partout.
    
    - Tu n'aimes pas ça ? Laisse-toi faire.
    
    Carlos, déjà nu et complètement raide, s'était rapproché et nous observait en souriant. "Branle-moi", me demanda-t-il d'une voix douce. Bettina renchérit sur un ton ferme et plus autoritaire : "Et applique-toi, je te regarde".
    
    Je me saisis de son engin et entama mon va-et-vient avec le plus grand soin, le regard fixé sur son gland visible en toutes circonstances car, comble du raffinement, il était circoncis. Bonheur de contempler de près ses grosses couilles épilées ballotant dans une valse harmonieuse et sa queue grossir encore dans ma main. Je la voulais dans ma bouche, là, tout de suite, immédiatement, mais trop timide me retins, attendant qu'on m'en intima l'ordre. Après s'être déshabillée presque entièrement, ne gardant que ses cuissardes, Bettina versa une nouvelle coupe de champagne le long de son manche de plus de 20 centimètres de long, ce qui provoqua chez lui un petit "ouh !" de plaisir. Il sourit.
    
    - Garde ce rythme, ne va pas trop vite, me commanda-t-elle, je ne veux pas que tu le fasses jouir avant mon signal.
    
    Je levai les yeux vers lui en quête d'une approbation ou d'un encouragement mais il m'ignorait toujours, ne me considérant que comme un instrument de son plaisir. À nouveau, je demandai la permission de baisser mon jean : "tu n'as qu'à débander si elle te fait mal", me répondit Bettina en souriant. Facile à dire ! Elle me tendit une autre coupe que je vidai d'un trait, ...
    ... comme si c'était de la limonade, sans cesser de masturber Carlos de ma main libre, le regard fixé sur son membre sublime.
    
    - Maintenant mon mignon, prends-le dans ta bouche.
    
    Je m'exécutai aussitôt, sachant ce qui m'attendait et l'espérant : après seulement quelques allers-retours entre mes lèvres, il éjacula copieusement dans un long râle de satisfaction ; je reconnus immédiatement le goût de son sperme qui ne m'avait pas quitté depuis la dernière fois, le gardai en bouche sans avaler, n'ayant pas reçu d'avis contraire. Son chibre dégonflait à peine, baignant dans son foutre qui refoulait inévitablement entre mes lèvres, coulant sur ma poitrine et sur mon ventre tout en refroidissant. Quand il se retira enfin, Bettina se saisit de son cylindre qui commençait à perdre de sa rigidité et balaya son gland sur mon visage. Je me sentais délicieusement salope, salie, étape indispensable de mon plaisir. Être une bouche à foutre me plaît, j'aime les queues et leur jus, je suis fait pour ça.
    
    - Avale, après tu pourras retirer ton jean.
    
    J'engloutis immédiatement le sperme qui me restait en bouche et libérai ma queue qui put enfin se déplier, entièrement décalottée. Après une deuxième coupe de champagne vidée d'un trait qui dissipa un peu le goût de la semence, je n'eus plus pour objectif que de fourrer Bettina avec la vigueur qui m'avait fait défaut il y a une semaine. Plus de panne, plus de panique, plus de trac, j'allais la prendre et la défoncer, la faire couiner, la faire ...