1. SAP&cie 02


    Datte: 03/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byYarrow, Source: Literotica

    ... les stimulations de son oeillet, prémisses d'un touché rectal qui pourtant n'arriva pas et regrettant même que cela s'arrête avant qu'il ne lui ai inséré un doigt.
    
    Car elle sentit les mains du coach la tourner sur le dos. Une fois dans la position voulues, à plat dos, ses bras furent de nouveau levés puis ses mains furent emmenés sous sa tête. Toujours dans le noir absolu, elle essaya de visualiser la scène du point de vue de son coach, elle lui offrait littéralement son corps entier avec ses bras dans cette position de soumission. Elle était pourtant prête pour la suite.
    
    Si l'excitation de Jess avait un peu diminué lors du changement de position, elle remonta en flèche lorsqu'elle s'imagina la suite.
    
    Oh bon sang, il va jouer avec mes seins, mes tétons et ... et ... oh putain ... ma chatte.
    
    Et c'est ce qu'il se produisit, pourtant ce massage était similaire au badigeonnage d'huile de début de séance. Mais le corps qui avait pourtant subi ce traitement auparavant n'était plus du tout le même. Il était maintenant le récepteur consentant des attouchements de Dylan Pierce. Le changement d'état de ce corps, divin dans un futur proche, était dû au changement d'état d'esprit de sa propriétaire et d'un désir jusque là refoulé au plus profond d'elle par ses craintes qui n'avaient pas lieux d'être dans le contexte présent.
    
    En effet, Jessica était terriblement complexée. Elle n'avait même jamais laissé Bruno la voir totalement nue jusque là, ils n'avaient même pas ...
    ... encore fait l'amour, après trois mois de relation, alors qu'elle vivait depuis un mois chez lui. Elle en avait honte. Honte d'avoir honte. D'autant plus que Bruno était un modèle de patience, augmentant encore son malaise. Mais cela s'expliquait par cette peur, toujours la même peur, celle où l'homme de sa vie se détournait d'elle en pointant du doigt des défauts physiques dont elle n'aurait pas conscience et irait voir Lucie ou pire Jena. Cela l'empêchait de s'ouvrir, cela l'empêchait d'éprouver du plaisir avec quelqu'un car les visages de ses soeurs la harcelaient aux moments cruciaux.
    
    Mais là, ce jour là, trois mois après son inscription à la salle et trois mois avant cette matinée dans le tram, tout était différent. Non seulement son coach connaissait déjà son corps, avait stocké sa silhouettes dans sa mémoire, comme il l'avait lui-même dit, et donc qu'elle n'avait plus rien à cacher, plus rien dont elle pourrait avoir peur qu'il découvre, mais en plus, il fallait qu'elle éprouve du plaisir, elle le devait pour obéir à son formidable coach et à Bruno. Son coach, qui savait comment la transformer. Qui savait et allait faire en sorte qu'elle n'ait plus peur de son corps. Qu'elle n'ait plus peur de le montrer et le donner à Bruno. Qu'elle s'épanouisse enfin grâce à lui. En n'étant plus source de peur mais source d'envie pour son homme, de plaisir pour elle et de jalousie pour Jena.
    
    C'est toutes ses pensées et perspectives sous jacentes, conscientes et inconscientes qui ...