1. Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. (5)


    Datte: 12/04/2020, Catégories: Erotique, Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    — Tu es une vraie petite salope, dis-donc ! Tu m’as mis sur les genoux, ce n’est plus de mon âge !
    
    Je vais organiser une journée très spéciale la semaine prochaine. Prends tes dispositions pour être libre vendredi, je passerai te chercher, on commencera par aller renouveler ta garde-robe par quelques menus achats, je serai là vers 9h30, ne me fais pas attendre.
    
    Il part une fois la chasse d’eau réparée.
    
    Suite :
    
    Jean a monté une histoire de toutes pièces pour vendredi. On doit aller se renseigner pour changer la robinetterie de la salle de bain qu’il dit à bout de souffle dans un grand magasin de la ville d’à côté.
    
    Il doit aussi aller voir un ami qui risque de nous retenir à déjeuner, arguant que ça me changera les idées.
    
    Bruno est d’accord d’échapper à cette corvée et belle-maman récupérera les enfants à la sortie de l’école et les gardera ce week-end.
    
    Les jours se traînent, enfin le vendredi arrive. A l’heure convenue, je le guette derrière ma fenêtre. Je vois enfin sa voiture se garer, il en descend et se dirige vers la porte. Sitôt que je lui ouvre, il m’embrasse, m’attrape par la taille et laisse descendre son bras sur mes fesses avant de remonter sa main sous ma jupe. Il fronce soudain ses sourcils broussailleux en découvrant le tissu d’un tanga.
    
    — Qu’est-ce que c’est que ça ? Tu as déjà oublié mes préceptes ?
    
    — Euh... tu m’as dit qu’on sortait... alors...
    
    — Alors quoi ?! J’avais dit aucun sous-vêtement quand tu es avec moi ! C’est valable ...
    ... même quand on doit sortir !! Tu as intérêt à retirer ça fissa !
    
    Il me suit dans ma chambre. Baissant la tête pour me faire pardonner, je me déshabille pour retirer tanga et soutien-gorge et les laisse par terre sous ses yeux rétrécis. Je me regarde dans le miroir J’ai les tétons qui pointent et la raie des fesses bien dessinée. Au premier coup d’œil, tout le monde verra que je ne porte rien sous ma robe. J’en frissonne de gêne et de défi mélangés. Jamais je n’aurais osé ça toute seule.
    
    Nous quittons la maison, Jean, toujours galant, m’ouvre la porte de sa voiture. Une fois sortis de la ville, il me demande de remonter ma robe découvrant complètement mes cuisses puis de me caresser pour me chauffer pendant le trajet.
    
    Des coups de klaxon retentissent quand les chauffeurs des camions que nous doublons se rendent compte du spectacle gratuit que je leur offre. Certains accélèrent pour profiter quelques secondes supplémentaires de la vue plongeante sur mon entrejambe où ma main s’active sur ma fente humide, me faisant des gestes obscènes. Et on se demande ensuite pourquoi il y a des accidents inexplicables !
    
    Jean nous amène dans une ville à plus d’une heure de chez moi où je risque moins de tomber sur des connaissances car je viens rarement dans ce département limitrophe.
    
    — Pour ce qui est de tes robes, tu verras avec Laetitia, ta meilleure copine. Elle au moins sait se mettre en valeur, robe bien échancrée et pas trop longue pour mettre en valeur ses belles jambes. Je ...
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