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Changement 1
Datte: 11/04/2020, Catégories: ff, poilu(e)s, fépilée, complexe, douche, massage, magasin, Auteur: Anne-marie, Source: Revebebe
... pointes jaillissaient littéralement, tendues, gorgées. Je jetai un regard sur la glace toujours sans me retourner et je vis Aïcha qui retirait sa blouse ; je la voyais de dos, elle était nue à part la ficelle d’un string qui disparaissait entre des fesses rebondies. Elle s’enroula dans un voile arachnéen qui, après plusieurs tours savants, dissimula complètement ses formes. Je retirai ma jupe et pestai contre mon accoutrement de bourgeoise. Je retirai rapidement les bas et tentai de dégrafer le porte-jarretelles. Je sentis dans mon dos une présence, Aïcha dégrafa l’accessoire prestement. Elle me fit retourner et j’étais nue face à elle. Son voile dissimulait complètement le bas du corps mais restait très transparent sur la poitrine. Elle avait des seins lourds, je pensai immédiatement à ceux de Sandra ! Sa peau mate semblait douce, les aréoles étaient larges et très sombres avec des tétons petits mais manifestement érigés. Elle m’apprit à mettre le voile, ses doigts m’effleuraient, légers. J’avais l’impression que les mamelons allaient éclater tellement ils étaient tendus. Elle rit. Elle retira mon voile et me fit allonger sur la table en me posant la tête sur un petit coussin damasquiné. Les frissons revinrent lorsque je la sentis étaler la mixture sur le bas de mon dos. Le traitement de la cellulite commençait ! Elle pétrissait mes fesses que je savais un peu molles mais pas à ce point. Elle s’acharnait sur mes cuisses jusqu’aux genoux. Le parfum de ...
... l’orange et du café devenait enivrant. Elle me demanda de me retourner. J’étais complètement exposée. Elle m’enduit d’une nouvelle couche jusque sur le ventre. Au passage, ses mains frôlaient les poils ce qui me donnait la chair de poule. Je sentais mon bourgeon réagir, se dresser, sortir de sa coquille. J’étais impuissante à empêcher son érection. Je sentais dans le même temps mes lèvres s’humidifier. J’étais partagée entre la honte qu’elle s’aperçoive de mon excitation et le plaisir de laisser monter le désir. J’avais les cuisses serrées. Aïcha exerça une légère pression pour les ouvrir. Elle me dit de me détendre en souriant. Elle massait l’intérieur de mes cuisses. J’étais sûre qu’elle ne pouvait que remarquer mes lèvres que je sentais gonflées, ouvertes et luisantes et le bourgeon tendu qui pointait son nez sous les poils noirs. Je fermais les yeux pour ne pas avoir à croiser son regard. Ses mains virevoltaient sur ma peau accentuant sans cesse le plaisir d’être touchée. Et les mains quittèrent ma peau brusquement. Je sursautai presque. J’avais l’impression de sortir d’une sorte de rêve. La peau était détendue mais recouverte d’une sorte de couche verdâtre, un peu comme dans un enveloppement de boue. Elle m’expliqua qu’elle allait préparer une douche et elle me recouvrit d’une sorte de couverture légère sous laquelle j’eus l’impression de bouillir lentement, mais je sentais mes muscles se détendre et une torpeur bienveillante me gagner. Je refermai les ...