1. Les moulins de mon coeur


    Datte: 11/04/2020, Catégories: ff, extracon, Collègues / Travail caférestau, amour, jalousie, Masturbation Oral 69, amourdura, Auteur: Adrien, Source: Revebebe

    ... copies sur la table du salon. Je place également ma trousse et quelques autres affaires que je tire de mon sac de cours.
    
    Il est à peine treize heures quand j’arrive au pied de l’immeuble d’Alexia ; interphone, hall, ascenseur ; j’ai les jambes en coton, j’ai peur, je suis excitée. Je me regarde dans la glace et j’ai une nouvelle fois l’impression de voir quelqu’un qui n’est pas tout à fait moi. La porte s’ouvre, j’entre. Elle est là. Je me jette dans ses bras pour un fougueux baiser qui me fait plonger instantanément dans un tourbillon de sensations et d’émotions.
    
    Je m’abandonne à elle et elle s’abandonne à moi. J’ôte des vêtements dont je ne peux dire si ce sont les miens ou les siens. Fiévreusement nos mains prennent possession du corps de l’autre allant directement aux endroits les plus intimes, sans retenue, sans pudeur.
    
    C’est à peine si je me rends compte qu’elle m’entraîne vers sa chambre difficilement d’ailleurs ; je réalise que je porte encore ma culotte mais à mi-cuisses. Elle est entièrement nue, elle ne devait pas en porter.
    
    Les mains de chacune s’activent sur le sexe de l’autre sans que je puisse dire laquelle a commencé.
    
    Je bascule sur son lit. Elle finit d’ôter ma culotte qui m’entravait ; j’écarte largement les cuisses et sa bouche se plaque sur mon sexe. À cet instant je ne peux réprimer un râle de plaisir.
    
    Je n’ai pas envie de rester passive.
    
    — Viens ! lui dis-je. Viens sur moi !
    
    Sans interrompre son cunnilingus, elle vient se placer ...
    ... sur moi et je peux goûter son sexe.
    
    Combien de fois l’ai-je vécu en rêve, ce moment, depuis une semaine ? Cette fois c’est la réalité et c’est bien mieux que dans mes fantasmes.
    
    Nous jouissons au même moment.
    
    Il n’y a pas vingt minutes que je suis là.
    
    Dans ces circonstances, l’éternité semble trop brève.
    
    La tornade de désir et de plaisir qui s’était emparée de nous s’éloigne peu à peu. Essoufflée, je reprends conscience de mon environnement. Alexia est sur moi, tête-bêche. Nous sommes immobiles. J’ai une vue magnifique sur son entrecuisse.
    
    Je caresse le creux de ses reins pendant une minute ou deux puis elle se relève et vient vers moi. Je l’ai toujours trouvée belle mais là, elle est magnifique. Nous nous embrassons à nouveau ; moins passionnément et plus tendrement que la première fois.
    
    Nous remontons vers le haut du lit et nous nous installons côte à côte sans presque nous quitter du regard. Chacune caresse les corps de l’autre du bout des doigts pendant un long moment.
    
    C’est moi qui romps le silence :
    
    — La semaine dernière, j’ai hésité ; aujourd’hui j’étais impatiente.
    — Ça me fait plaisir que tu dises ça.
    
    Nos caresses et nos baisers ravivent vite notre désir mutuel. Il ne faut pas longtemps pour que chacune se livre sur le sexe de l’autre à des attouchements très précis. J’ai envie d’être plus près encore et je passe une jambe au-dessus de la sienne, mon sexe bien plaqué sur sa cuisse. Dans cette position, je me mets à onduler. Elle écarte ...
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