1. La vie étudiante (2)


    Datte: 10/04/2020, Catégories: Hétéro Auteur: patou333, Source: Xstory

    ... me le rendit avec folie, on se mangeait littéralement la bouche. Cela peut paraître un peu dégueu dit comme cela, mais c’était particulièrement érotique. J’agrippais ses fesses tellement fermes, je relevais sa robe par-dessus ses hanches, je baissais une fois de plus son string qui était trempé. Je m’agenouillais devant elle au niveau de son fruit défendu. L’odeur dégagée par son abricot était folle, tellement enivrante. Ses jambes étaient légèrement écartées. Je contemplais son sexe, un mince filet de poil s’y trouvait, bien taillé. Ses lèvres bavaient de mouille. Je voulais y goûter et je ne m’en privais pas. Je plongeais ma tête entre ses jambes et je léchais ce sexe qui n’attendait que cela. Mes coups de langue la rendaient folle.
    
    Sophie gémissait tellement fort que j’eus peur qu’on nous entende jusqu’à la soirée. Mais je m’en foutais, tout était trop parfait pour que cela s’arrête. Je léchais cette petite chatte avec tellement d’application que je sentais ses lèvres se contracter et les mains de Sophie dans mes cheveux qui m’agrippaient et m’enfonçaient la tête dans son sexe.
    
    — OOOH ouiii, c’est tellement bon. Tu fais ça tellement bien, puutaaain. Le genre de phrase qui me rend dingue, qui faisait que les coups de langue étaient précis, au possible tout était réuni pour lui arracher un orgasme fulgurant.
    
    Pourtant Sophie en avait décidé autrement. Je sentis ses mains qui me relevaient, et j’obéis docilement. Je me retrouvais face à elle et sentais qu’elle ...
    ... déboutonnait mon pantalon. La cochonne, elle veut encore me sucer encore, pensais-je. Je rêvais au plus haut point à l’idée qu’elle engloutisse une fois de plus mon sexe dans sa bouche. Je la laissais faire. Elle saisit mon sexe à pleine main et commença à me branler en me regardant dans les yeux avec ce regard de coquine tellement perçant. Mon sexe qui était déjà bien au garde-à-vous se cambra un peu plus, c’était tellement bien réalisé, ses gestes étaient fermes. Mais là, je ne voulais plus me faire sucer, je voulais la prendre debout contre ce mur, je voulais qu’elle sente mon sexe au plus profond d’elle. Je la pris par la taille et la collai contre le mur. Je poussais délicatement sa main de mon sexe et le pris fermement. Je sentis dans son regard de la surprise. Je dirigeais mon sexe contre son sexe.
    
    Le bout de mon gland toucha sa toison toute trempée. J’allais la pénétrer tout doucement et l’enfoncer en elle. Je jouais avec mon sexe contre ses lèvres.
    
    C’était le moment...
    
    — Non, je peux pas. Hein ? Quoi ? Elle vient de dire quoi là ??
    
    — Nan, je peux pas faire ça, j’ai mon copain... Putain, j’étais dégoûté... comme cela, stop, ce n’est pas possible. J’étais aussi frustré que dégoûté, limite je commençais à débander... Je ne disais rien comme frappé par la foudre. Sophie fuyait mon regard, réajusta sa robe, et remit son string avant de remonter d’un étage pour rejoindre la soirée sans un mot pour moi. Putain, nan, mais sérieux, je veux mourir là. Je le pensais ...