1. Be lles cuissardes


    Datte: 10/04/2020, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... elle me faisait totalement confiance me croyant si loyal.
    
    Je ne voulais lui nuire mais effrayer l'autre nigaud. Tout se déroula parfaitement bien. Les trois nous prîmes notre pied. Elle n'était pas avare de jouissance, la salope. Je la savais exceller sous les coups de boutoirs et assauts de deux mâles en rut voire davantage. Dans son milieu d'amis libertins on la surnommait : la dame partouze. Mon imbécile était aux anges prêt à réitérer les prochains jours. Le film était parfait à part qu'il trahissait un moment, une circonstance particulière. La vicieuse au début était affublée d'un masque qui lui assurait l'anonymat. Cela participait de la mise en scène.
    
    Or à un moment et dans le feu de l'action, elle s'en délestât pour le remettre aussitôt. Cependant cela suffisait à révéler son identité. Bref je revins catastrophé vers le pote lui avouant qu'on avait été à notre insu filmé. Le gars de l'hôtel où nous avions copulé filmait beaucoup de couples pour en commercialiser les ébats voire même les faire chanter. D'abord j'avais eu idée d'aller lui casser la gueule et de récupérer le film. Des potes m'en avaient dissuadé. Il était de mèche avec les flics et quelques grosses huiles. Ainsi le film, non récupéré, nos gambades pouvaient être partout diffusées.
    
    Le copain s'esclaffa. Il n'en avait cure. Il avait maintes fois partouzé et à l’occasion avait été filmé par un smartphone ou autre. Ce genre de publicité ne l'effrayait pas mais je lui représentais que la garce ...
    ... était une femme mariée. Que son homme fort jaloux était un notable de la ville et que celle-ci avait à un moment retiré son masque. Elle pouvait donc être reconnue avec lui entre ses fesses. Là il devint tout écarlate. Il connaissait le mari. Celui-ci était le pote de son patron. Bref il n'avait aucun intérêt que le film put leur parvenir un jour. Il me supplia d'intervenir et d'éliminer le risque du film.
    
    Affectant d’être sensible à son désarroi, je l'assurais que je ferais tout mon possible. Par mes relations, j'avais moyen de faire pression sur l'hôtelier. Celui-ci était vulnérable en certains points. Bref je ne m’engageais pas moins à ramener le film et de m'assurer qu'il n'eût fait des copies. Ce que je fis. Heureux, il me sauta dans les bras. Je lui sauvais la vie. Il n'en vit pas moins à ma mine qu'il y avait un problème. Rapidement je lui expliquais que des cochons avait visionné quand même le film dont son patron. Bref ce dernier savait. Le pote à cet instant s'écroulât sur son siège, anéanti.
    
    Là une fois encore, je l'assurais que j'avais une autre carte dans ma manche. Je savais aussi comment dissuader ce dernier d'être bavard. Ainsi sur le moment inventais-je un conte. Son patron en fait ne savait rien. Je n'avais nul moyen sur lui. Néanmoins je fis accroire au copain que j'avais fait chanter ledit patron. Que ce dernier voulait bien passer la main à condition qu'il acceptât de quitter la région et sollicitât un autre poste loin ailleurs. Bref il devait accepter ...
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