1. Be lles cuissardes


    Datte: 10/04/2020, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... l'invitais sur le champ à déjeuner bientôt.
    
    Elle ne pouvait refuser. Notre conversation requérait une suite et prise de résolutions. J'assurais que cela ne nous prendrait que quelques heures à la pause méridienne et dans un lieu assez discret et suffisamment éloigné de notre territoire. Nous échangeâmes nos numéros. Nous convînmes de satisfaire à ce rendez-vous au plus vite. Je triomphais. J'étais heureux de ce bon coup. L’établissement choisi était peu fréquenté. Mme Denon n'en vint pas moins abritée derrière des lunettes noires. Elle voulait se cacher tant aux regards des autres que des miens ce que je concevais.
    
    Elle n'en était pas moins belle et séduisante en plein jour. Elle était sobrement maquillée et vêtue. Cela manifestait davantage de sa classe. Je tins à que nous commençâmes par deux coupes de champagne. Je sortais en l'espèce le grand jeu. Je ne voulais pas regarder à la dépense pour cette reine. Elle protesta mollement. Elle s'était avisée de ne pas me contrarier pour peut-être dépêcher l'entretien. Elle fut sûrement mal inspirée car je fis si bien qu'elle vida bientôt deux coupes entières. Je la perçus chancelante et plus faible à mon égard. Elle fut bientôt secouée par un petit rire.
    
    Je ne sais comment mais j'en vins à dire du mal de son amant. Ce n'était qu'un lourdaud ce dont elle convint. Alors pourquoi ne le quitter ?. Elle me dit qu’elle avait peur qu'il fit du scandale. C'est un peu pour cela qu'elle s'était jetée dans les bras du jeune et ...
    ... charmant Hamid. Je comprenais un peu de toute l'odyssée de femme mariée et désœuvrée. Que du banal. Flaubert paraît-il en a fait son chef-d’œuvre : Mme Bovary. En fait elle me trouvait direct et sympathique. Elle m’avait cru tout autre ce pourquoi elle m'avait souvent snobé. Et puis n'étais-je pas précédé d'une telle réputation ?
    
    On me voyait tel un soudard très peu respectueux des femmes. Son honorabilité devait se prémunir de gens tels que moi. Je lui fis observer qu'à cause de ses préventions, elle s'était donnée néanmoins à un imbécile. Elle éclata de nouveau d'un petit rire. Elle voulut commander et déjeuner au plus vite. Le champagne lui montait à la tête. Enfin, elle daigna enlever ses lunettes et m'affubla de son joli sourire. Nous entrions indéniablement dans une certaine intimité. Elle voulut savoir de ma vie et notamment de ma vie militaire antérieure. Mutine elle me demanda pourquoi je n'étais pas marié.
    
    Je la lui fis court. J'étais un sale gosse. Je ferais un mauvais mari ou du moins y serais-je dilettante. J'aimais cependant les mômes. Elle trouva dommage que je n'eus pas pris ce risque me faisant observer que je valais bien nombre de sots qui était depuis mari et père et n'en négligeant pas moins femme et enfants. En fait j'étais simplement égoïste car trop épris de ma liberté. Je pensais à cette seule condition ne pas vieillir prématurément. J'avais déjà entendu un tel diagnostic. Me rangeant à son avis je lui dis avec dépit et feinte innocence : Oui vous avez ...
«1234...8»