1. La « Lancenoir » 02


    Datte: 02/04/2018, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... parfaitement trouvé le mot, de la pure chatte de bonne salope... Ne fais pas cette tête Léa... Quand je dis salope, c'est dans le bon sens du terme. Ta chatte réclame, elle a besoin de sa dose de bite marbrée. J'aime ça moi! Ce que je n'aime pas, c'est celles qu'il faut lustrer des heures pour qu'elle brille. Qu'il faut lécher jusqu'à ce qu'on ait la langue sèche, qui demande des préliminaires interminables... C'est vraiment pénible. Mais toi, t'es une vraie cochonne, on te dit juste « Je vais te baiser » et t'arrives plus à te tenir. Toi, t'es de la juteuse qui donne envie, tu peux en être fière.
    
    — Putain comme je bande, dit l'un des acolytes d'Amadou. J'ai trop envie de lui démonter la chatte!
    
    — T'auras peut-être ta chance un jour... et plus vite que tu le crois, elle aime la bite de noir, elle peut déjà plus s'en passer. Elle n'arrêtait pas de le répéter pendant que je la fourrais : « Oh c'est trop bon Amadou, mon minou de bichette n'a jamais rien senti d'aussi délicieux que ta bite de gros black. » Ahah! Et ça, ce n'est rien! Une fois qu'elle aura sucé ma queue et avalée mon foutre, elle aura besoin de sa dose journalière, je vais en faire une vraie droguée!
    
    — Mais tu ne peux pas nous la prêter? Moi j'ai vraiment envie de la niquer tout de suite, là
    
    Le type qui venait de dire ça avait un air de méchant et déterminé. Léa prit un peu peur et se serra contre Amadou.
    
    — Même les grosses salopes comme elle, on ne peut pas les surmener d'entrée de jeu... Pour ...
    ... l'instant qu'elle s'occupe juste de ma bite, et ça va déjà lui faire du turbin.
    
    Amadou regarda Léa, et la remarquant serrée contre lui, incapable de dire un mot ou d'avaler un morceau, il ressentit un mélange de pitié et d'exaspération.
    
    — Eh bien, tu ne manges pas? Je ne veux pas que tu deviennes malade! C'est répugnant de baiser des meufs mal fichues.
    
    Léa, sous l'incitation d'Amadou, finit par porter sa fourchette à sa bouche. Et Amadou la voyant déglutir difficilement un morceau de viande ajouta :
    
    — Je sais ce que tu penses. Pourquoi manger cette nourriture à la con alors que tu pourrais te régaler avec ma queue? Ne t'inquiète pas pour ça. Je te servirais de ma bite à bouffer plus tard aussi, ahah!
    
    Le reste du repas, Amadou garda Léa à ses côtés, comme un trophée. Elle ne représentait pour lui que la dernière pute blanche qu'il se tapait. Il faisait une remarque sur la façon dont il l'avait baisé à couilles rabattues. Puis expliquait la manière dont il pensait lui faire rendre grâces à la prochaine séance de fornication. Ses potes étaient admiratifs de ses prouesses, commentaient sa virilité ou faisaient des remarques acerbes sur la décrépitude morale de Léa. Il ne voyait en elle qu'une fille facile, tout juste bonne à recevoir leur foutre. Léa, elle, restait la bouche cousue. D'abord pâle, tellement honteuse de ce qui lui arrivait, mais peu à peu les paroles d'Amadou finir par la faire frissonner et rougir. Elle repensait à ce qu'elle avait vécu dans le local à ...
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