1. Vacance chez mon oncle. Quatrième partie.


    Datte: 10/04/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: CrazyJoz, Source: xHamster

    ... ça ne l’a pas dérangé ?
    
    — Maria travaille pour moi, elle s’occupe de la maison et de temps à autre on baise ensemble, c’est que du sexe, elle n’a pas à se justifier et moi non plus. Je ne lui ai rien dit sur son comportement avec toi, elle fait de même avec Jessica. Tu vois, c’est un équilibre ! »
    
    Chacun faisait ce qu’il voulait de son côté en dehors de leur liaison. Je devais trouver un moyen de créer cet équilibre.
    
    Arthur partit travailler en début d’après-midi, il était prévu que Maria vienne faire le ménage, je l’attendais avec impatience.
    
    Elle ouvrit la porte à quatorze heures, j’étais assis dans le salon. Je la vis déposer une boite sur la table de la cuisine.
    
    « Bonjour, Maria. »
    
    Elle me jeta un regard noir en s’approchant de moi. Elle m’agrippa par le col de mon t-shirt et fourra sa langue dans ma bouche.
    
    « Tu as désobéi aux règles.
    
    — Je sais. »
    
    Elle me gifla violemment.
    
    « Tu ne t’en excuses même pas ?
    
    — Non. »
    
    Sa main droite se leva de nouveau, mais cette fois-ci je l’en empêchai. J’attrapai sa main gauche et la fis reculer contre le mur, cette fois ce fut moi qui l’embrassai brutalement.
    
    « J’ai baisé ta fille et tu as baisé mon oncle, on est quitte. »
    
    Elle ne se débattait pas, j’en fus surpris. Elle me rendit mon baiser, me mordilla la langue, les lèvres.
    
    « Tu crois pouvoir t’en sortir comme ça ? demanda-t-elle.
    
    — Pourquoi pas ? J’aime Jessica, je veux l’aimer et la baiser comme je l’entends. Je veux qu’elle ...
    ... m’appartienne, de la même manière que je t’appartiens. »
    
    Je la libérai de mon emprise et reculai de quelques pas. Elle resta appuyée contre le mur, son rouge à lèvres éparpillé sur le visage. Je bandais sous mon jean, je ne pouvais pas le cacher. Maria m’excitait terriblement, je ne voulais pas perdre ça, pas même pour sa fille.
    
    « À genoux ! »
    
    J’obéis aussitôt. Elle retourna devant la table et ouvrit la boite, je l’entendis fouiller à l’intérieur. Elle revint devant moi.
    
    « Lève la tête. »
    
    Je la regardai. Je lus l’excitation dans son regard. Une première gifle arriva, aussitôt suivie d’une seconde. Mes joues étaient en feu, je ne disais rien. Elle recommença de nouveau.
    
    « Tu veux toujours désobéir ?
    
    — Oui, maîtresse… »
    
    Je m’attendais à une nouvelle gifle au lieu de ça elle s’agenouilla et colla son front contre le mien.
    
    « Ça ne peut pas marcher comme ça… Soit tu es à moi, soit à une autre.
    
    — Vous faites bien la même chose avec mon oncle. »
    
    Nous restâmes ainsi quelques secondes. Puis elle m’ordonna de me relever et de me déshabiller. Je m’exécutai aussitôt. Une fois nu, elle vint installer un collier à mon cou, elle me tenait en laisse, réellement cette fois.
    
    Tirant sur la laisse, elle me fit avancer jusqu’à la table. J’aperçus le contenu de la boite, des sex-toys, un martiné, un bandeau pour les yeux, des menottes, un bâillon… L’excitation et la peur se mélangèrent en moi.
    
    « Penche-toi sur la table, les jambes bien écartées. »
    
    J’obéis.
    
    Elle ...
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