1. Son vieux copain


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fhh, frousses, extracon, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, couple+h, Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe

    ... gamberger ça, mon chéri, dit-elle en riant et en lui déposant un baiser sur la joue.
    
    Puis reprenant son sérieux :
    
    — Oui. C’est vraiment par hasard. Je l’ai rencontré un soir, après le boulot, alors que je me baladais à la FNAC. Je ne l’avais pas remarqué, c’est lui qui m’a abordée. On a discuté un long moment, puis il m’a invitée à prendre un verre dans un café. Alors, on a évoqué le passé, ce temps où nous étions étudiants à Nantes. On a parlé aussi de nos vies. Il m’a expliqué qu’il habitait Paris depuis cinq ans, qu’il travaillait dans une boîte de com et qu’il était toujours célibataire. Puis on a échangé nos numéros de portables et on s’est séparés.
    — Et c’est tout ? dit Stéphane surpris de constater qu’il n’y avait rien eu de plus entre sa femme et l’autre.
    — C’est tout, oui… Sauf que cette rencontre a eu lieu juste deux ou trois jours après notre dispute, à un moment où j’étais vraiment très en colère contre toi, où j’étais terriblement malheureuse et où je me sentais bien seule. Alors ce soir-là j’ai vraiment pensé renouer avec ce beau mec et l’idée m’est même venue d’aller prendre du plaisir avec lui, rien que pour me venger de toi. Dans la nuit qui a suivi, alors que tu dormais déjà, je dois t’avouer que je me suis touchée dans mon lit en pensant à lui.
    
    Elle fit une pause, déposa un baiser sur les lèvres de son homme, puis elle reprit :
    
    — C’est le lendemain que j’ai eu cette idée stupide de me servir de lui pour te rendre jaloux. Je l’ai donc appelé ...
    ... pour l’inviter à dîner. La suite, tu la connais.
    — Ma pauvre chérie, lui dit-il, touché par la sincérité de son épouse.
    
    Il la serra plus fort dans ses bras et ils s’embrassèrent à nouveau. Puis ils se regardèrent un long moment, les yeux dans les yeux, afin de mieux profiter l’un de l’autre. Le doux sourire qu’elle lui fit le rendit heureux. Il retrouvait sa Julie telle qu’elle avait toujours été : si gentille, si pétillante et si belle.
    
    — Quand j’ai vu que tu te laissais peloter par ce salaud, reprit-il, j’ai eu tout à coup très peur de te perdre. J’ai réalisé alors à quel point je tiens à toi, ma petite Julie… Si tu savais comme je t’aime… !
    
    Elle le serra dans ses bras de toutes ses forces et déposa un baiser sur sa joue. Puis elle lui chuchota à l’oreille :
    
    — Tu ne me feras plus souffrir, dis mon chéri ? Jure-le-moi ! supplia-t-elle.
    — Je te le jure, mon amour. Maintenant, il n’y aura plus que toi et moi et nous nous aimerons si fort que tout le monde sera jaloux de nous… Tu veux ?
    — Je ne désire que ça mon chéri ! Je n’ai jamais désiré que ça, tu sais !
    
    Ils s’embrassèrent encore longuement. Ils étaient toujours debout devant la porte d’entrée et le désir ne tarda pas à s’emparer de lui. Caressant le dos de son attirante Julie enfin revenue à lui, sa main s’attarda bientôt sur le bas de l’échancrure de la robe, alors ses doigts saisirent la fermeture Éclair et la tirèrent vers le bas.
    
    — Que fais-tu gros vilain ? fit-elle avec une moue affectée.
    — Je ...