1. Sexothérapie


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, couple, grossexe, revede, Masturbation fgode, Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... les caresse doucement, puis fermement. Je me laisse faire, tétanisée, sans rien dire et sans essayer de tourner la tête. L’homme baisse ma petite culotte et je sens un sexe se glisser entre mes cuisses. Très gros… bien plus gros que celui de mon mari… presque trop gros… Il ne pourra pas rentrer… si, contre toute attente, il me pénètre presque facilement, se frayant le passage avec force, me remplissant comme je ne l’ai jamais été. Il me laboure sans ménagement, sans se soucier de mon propre plaisir. Pourtant, il arrive, de suite, violent, bestial… et je me réveille avec la chatte en feu, il m’est même arrivé de jouir réellement.
    — Karine, quelle est la femme sensuelle qui n’a pas eu ce genre de rêve ? Vous n’avez pas à vous inquiéter.
    — Si, parce que c’était la version soft de cet été.
    — Comment ça ?
    — Maintenant, j’ai droit à un viol collectif.
    — Décrivez-moi la scène, demande-t-elle intriguée.
    — Le début est le même sauf que je suis tirée dans le compartiment voisin. Dans le noir complet, on me retire mon tee-shirt et on m’arrache ma petite culotte. Des commentaires fusent : « Cette meuf c’est de la balle, je kiffe trop son cul.» Des mains de plus en plus nombreuses me tripotent, me palpent, me pétrissent les fesses, me malaxent les seins. Je me laisse faire paralysée par la peur. Les mains s’enhardissent, remontent l’intérieur de mes cuisses, s’insinuent dans ma raie. Des doigts écartent ma vulve, tâtent mon petit anus, puis sans ménagement m’ouvrent et me pénètrent… ...
    ... J’entends « Elle est trop mortelle. Zyva, qu’on la nique et qu’on l’encule à donf », je n’ose pas crier, ni me débattre… Vous imaginez la suite… En bref, six hommes me prennent et me reprennent de chaque côté, parfois ensemble jusqu’à ce que le train arrive en gare.
    — Effectivement, c’est plus hard, commente la sexologue nullement horrifiée.
    — Après, je me retrouve nue dans le couloir. Mon visage, mes seins, mon ventre, mon vagin, mon anus dégoulinent de sperme. Les voyageurs me dévisagent avec un air effaré et méprisant. Au lieu de regagner ma cabine toute honteuse, j’affronte leurs regards, fière d’avoir donné du plaisir à six hommes à la fois.
    — Cette fin dénote un petit penchant exhibitionniste. Rien de méchant.
    — Rien de méchant ? m’étranglais-je. Moi, en me réveillant, cela me traumatise. Surtout qu’il y a un tas de variantes. Cela m’est arrivé d’être une beurette prise dans une tournante au fond d’une cave de HLM, ou n’importe quel scénario dans le genre issu de mon imagination délirante. J’ai l’impression de péter les plombs. Le pire, c’est que dans ces rêves, je prends un pied pas possible à être traitée de la sorte… et même (avec une petite voix et en regardant mes chaussures) à me faire sodomiser à n’en plus finir, alors que je refuse toujours ça à mon mari.
    — Ecoutez, il n’y a rien de terrible dans tout ce que vous me racontez, Karine, vos rêves ne sont que le reflet de vos fantasmes.
    
    Je lève des yeux interrogateurs et elle poursuit :
    
    — Un fantasme est ...
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