1. La fille au piano


    Datte: 09/04/2020, Catégories: fh, couple, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Mister Me, Source: Revebebe

    ... moi. Elle s’assit à califourchon sur mes cuisses.
    
    Nous repartîmes dans un échange sulfureux de baisers embrasés. Je la repoussai doucement et je libérai maintenant son torse de sa longue et belle chevelure. Ses deux fruits s’offrirent à moi. Je commençai un baiser gourmand dans son cou et descendis maintenant sur son sein gauche. Je le contournai et goûtai son mamelon qui était devenu dur en subissant les assauts gourmands de ma langue.
    
    Elle eut une réaction forte avec un petit cri mêlant surprise et désir. Je découvris ainsi sa sensibilité… Elle redoublait d’ardeur et vint coller son bas-ventre au plus près du mien. Je continuai à me délecter de sa poitrine et ne fis qu’amplifier son désir qui s’illustrait par cette pression que son corps me donnait. J’étais son prisonnier, enchaîné par ses jambes autour de moi. Mes mains prirent ses deux fesses, et je la soulevai pour venir l’asseoir sur son piano.
    
    Elle ne desserra son étreinte que lorsque je la posai. Je jouai avec son Tanga en tirant sur les ficelles tel un cavalier jouant de ses brides pour dompter sa jument. Son regard m’indiqua le feu qui courait en elle. Je devais la libérer. J’embrassai son ventre et descendis sur le morceau de tissu, enivré des parfums capiteux que son jardin m’offrirait. Trois petits boutons étaient alignés sur le petit morceau de tissu bleu azur, devenu chaud et humide. Je les tirai un à un de mes dents. Puis mes mains tirèrent sur ses lanières et je la mis à nu…
    
    Je la contemplai ...
    ... dans sa nudité. J’avais dévoilé une petite toison entretenue avec soin. Ce petit triangle des Bermudes où mon équipage voulait aller se perdre…
    
    Je l’avais enfin devant moi, nue, entièrement pour moi, enflammée de désir au milieu de cette féerie de lumières chaudes. Je me déshabillai pour me retrouver dans le plus simple appareil face à elle. J’étais son égal et nos deux moitiés n’attendaient que de pouvoir former l’unité, l’unité de notre passion.
    
    Je la fis glisser doucement sur le piano, l’attirant jusqu’au bord, de manière à avoir son intimité sur le rebord du précipice qui me ferait basculer dans l’enfer du désir. Je posai un baiser sur son ventre chaud et me fis guider par des parfums suaves et corsés, pour enfin arriver en elle. Je recherchai cette boule de feu de ma langue, dégustant cette liqueur avec délectation. Elle pressa ma tête et serra ses jambes autour de mon cou. Elle se mit à pousser de petits soupirs de plaisir qui augmentaient avec l’intensité de ma gourmandise et de la pression qu’elle faisait sur moi.
    
    Elle m’appela en elle. Je me relevai et l’attirai vers moi, puis je la soulevai et la fis glisser le long de mon torse. Elle prit en main mon membre et l’enfila doucement et délicatement en elle, dans un cri de plaisir. Tout en la soutenant, je revins m’asseoir sur le tabouret de la pianiste. Elle me dominait et était heureuse de m’avoir en sa possession.
    
    Nos lèvres se retrouvèrent pour des baisers de feux qui étaient ponctués de halètements ...