OLIVIER 07 ON FAIT RELACHE
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... léger duvet de poil très fin. J'avais une violente envie de le lui caresser.
Moi : C'était au début de la semaine ?
Olivier : Je ne me souviens plus. Un autre jour mon regard est tombé sur l'entre jambe d'un autre de mes collègues. Il avait une jolie bosse qui me semblait très prometteuse. Je bavais d'envie d'y toucher. Je l'aurais bien sucé celui-là. Maintenant à chaque fois que je le vois je jette un œil, je te jure ça donne envie.
Moi : Bien monté ?
Olivier : Oui il est sûrement bien monté. Un autre jour c'est un autre collègue qui à réajusté sa cravate, il avait ouvert les premiers boutons, j'ai vu son cou et le haut de son torse, il n'avait aucun poil. Sa peau devait être douce, j'avais envie de le prendre dans mes bras et de l'embrasser partout.
Je l'écoutais et j'ouvrais deux boutons de plus à ma chemise. Bon moi je ne suis pas imberbe mais je voyais ses yeux se fixer sur ma fourrure.
Moi : Tu aimes bien la fourrure aussi ?
Olivier : Y'aussi !
Il ne pouvait plus détourner le regard. Je l'avais bien allumé là le gars. Je me disais que là il était à point !
Je me souvenais qu'il m'avait enfermé sans me prévenir, j'avais là ma vengeance. Il m'avait donné sa parole et si je lui demandais de garder le dispositif plus longtemps il le ferait sans même savoir pour combien de temps.
Mais voilà, j'avais moi aussi passé une semaine de totale abstinence et j'avais moi aussi envie de lui sauter dessus, de le baiser comme un fou, de me prendre sa ...
... queue dans le cul comme une chienne. Ma queue me faisait presque mal dans sa cage. Je bandais depuis que je l'avais pris dans mes bras à mon arrivée, et là ça commençait à faire un peu mal, comme les premier jours au réveil.
De retour à la maison je le taquinais.
Assis sur le canapé j'ouvrais ma chemise et me caressais le torse, l'air de rien, comme ça, tout en discutant. Je voyais sa frustration dans ses yeux, il avalais sa salive.
Olivier : On … a droit … aux … câlins maintenant … ?
Moi : Oui maintenant on y a droit !
Il baissait les yeux, contrôlait son souffle et sans prévenir me sautait dessus. Je savais le rattraper, on s'embrassait avec passion, le manque se faisait sentir à chacun de nos baisers. Il ne fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve torse nue, et là ce n'était plus que caresses et baiser.
Il avait promis de ne pas aborder le sujet de la cage de chasteté en premier et moi je faisais traîner. Il savait et il l'avait accepté, ce serait moi et moi seul qui déciderait quand.
Quelques minutes plus tard on se retrouvait à poil, sauf le petit truc bien sûr. Nos mains caressaient les couilles de l'autre, ses fesses, son dos, son torse … Enfin toutes les parties de son corps.
C'est moi et moi seul qui prendrait la décision mais il gardait le droit de refuser de me libérer si lui ne l'était pas ! J'avais concédé ce point sans difficulté, par expérience j'avais plus d'expérience que lui. Il y avait toutefois le risque d'être tombé sur un ...