1. Avant-première


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail voyage, amour, fsoumise, jalousie, Oral pénétratio, fdanus, champagne, Humour Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe

    ... personne qui est dehors en lui parlant et tu relèves l’écran.
    — Et toi ?
    — Pendant que tu t’occupes de l’écran, je me lève, je remonte mon pantalon sans me préoccuper ni de mon slip, ni de ma chemise, je le ferme et je remonte ma fermeture Éclair. Je laisse ma chemise par-dessus mon pantalon, ce qui est normal quand il fait chaud. Ça aurait été plus problématique en hiver avec un costume… ou si toi tu avais des collants. Pour terminer, je mets en veille le vidéoprojecteur et mon micro. Je pense qu’en moins de dix secondes on peut ouvrir la porte.
    — Je n’aurais jamais pensé à un scénario comme ça… aussi sophistiqué.
    — J’ai oublié une chose : il faut qu’on reste bien coiffés, surtout toi.
    — Mine de rien, tromper quelqu’un à quelques mètres de lui, ça a l’air vraiment facile quand c’est bien étudié.
    — Et surtout n’oublie pas de me vouvoyer devant les autres.
    
    Bernadette se rapproche de moi et enlève sa petite culotte. Je lui demande avant d’abaisser mon pantalon si elle se satisfait d’avoir sur l’écran un tableur de statistiques ou si elle préférerait quelque chose qui soit plus en approche avec notre situation.
    
    — Quoi par exemple ? me demande-t-elle, un peu naïvement.
    — Une jolie femme dans une position sympa.
    — Si tu veux.
    
    Sur mon micro, j’ai quelques dizaines de petites séquences un peu chaudes que m’ont refilé des copains amateurs de vidéos pornos. Je décide de choisir celles qui montrent des femmes se donnant un petit plaisir solitaire.
    
    — Ne t’inquiète ...
    ... pas, je n’ai pas mis le son. Et en appuyant sur une touche, on repasse au tableur.
    — Tu as besoin de ça pour être en forme ? me demande-t-elle, très troublée.
    — Non, comme je tourne le dos à l’écran, c’est toi qui vas en profiter ; j’attends de voir ta réaction quand tu verras des femmes s’exploser.
    — Décidément, Philippe, tu es un vrai pervers ! me déclare-t-elle à voix basse pendant que je baisse mon pantalon.
    
    Bernadette s’assied sur mes genoux face à moi. Sa chatte est à quelques centimètres de mon engin qui n’a qu’une envie : la pénétrer. J’écarte légèrement mes jambes pour mettre ma main entre ses cuisses et voir dans quel état d’excitation elle se trouve. Il est visible qu’aucun préliminaire n’est à faire. Nous sommes tous les deux fin prêts à conclure.
    
    — Embrasse-moi très fort pendant que tu me pénètres, me demande-t-elle d’une voix suppliante ; après, tu pourras me faire ce que tu veux… j’ai envie d’être complètement à toi.
    
    Je prends les fesses et les cuisses de Bernadette à pleines mains. Un vrai régal. Elles sont à la fois douces et fermes. Je rapproche ma bouche de la sienne, et immédiatement elle se met à m’embrasser comme une furie ; sa langue ne sait plus où tournoyer. J’ai rarement vécu une telle situation passionnée.
    
    Après quelques instants, je fais comprendre à Bernadette en tapotant sur ses fesses qu’il faut qu’elle se soulève un peu pour que je puisse trouver mon chemin. Aussitôt compris, aussitôt fait. Sans que j’aie à le lui suggérer de vive ...
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