Muriel - Histoires de Sexe

Muriel

J’ai grandi dans les beaux quartiers entre des parents aimants et aisés. Scolarité dans des établissements privés, suivi par une école de commerce payante, m’ont conduite à une grande entreprise où je suis chef du service marketing. Mon travail me plait et l’ambiance avec mes collaborateurs est détendue. J’ai connu mon mari dans les mouvements scouts. Il vient du même milieu que moi et est directeur dans un établissement bancaire. Il est assez intello et son travail le passionne. Nous avons une belle maison dans le même quartier que nos parents. Nos deux enfants suivent le même chemin avec une scolarité sans problèmes. Nous avons une vie bien réglée de jeunes bourgeois ouverts d’esprit. Nous fréquentons des familles similaires que nous recevons pour des barbe-culs au bord de notre piscine. L’hiver nous allons une semaine au ski dans une belle station et l’été nous allons bronzer dans les îles. Avec mon mari nous avons de la complicité sur presque tous les sujets et notre vie sexuelle bien qu’assez classique nous convient bien.

Et puis il y eu l’incident du métro que j’avais pris au printemps dernier pour aller faire du shopping en ville. C’était une belle journée et j’avais mis une robe légère que valorisait bien mon corps mince de belle quarantenaire. Il y avait beaucoup de monde dans le wagon quand je senti un frôlement dans le bas de mon dos. Je tournai la tête et vis un élégant cinquantenaire, assez séduisant et qui se tenait contre moi et qui me regarda avec des yeux ...

... rieurs. Désopilée je rosis et regardais de nouveau devant moi. Je sentis alors une main chaude ne caresser fermement une fesse puis l’autre en insistant dans la fente et sous les rondeurs. Je fus sans réaction. L’homme descendit à l’arrêt suivant et depuis le quai me fit, avec un large sourire, un petit signe de la main qui semblait vouloir dire à la fois merci et adieu. Il me fallut du temps pour admettre que ma réaction passive à cette manifestation de désir quasiment a****l et qui m’avait surprise, m’avait finalement excitée. Je découvrais que la soumission pouvait être une source de plaisir.

Et puis il y a eu l’accident. Un nouveau responsable du service de sécurité de la tour d’affaire où je travaillais pris ses fonctions. C’était un bel homme de quarante-cinq ans, grisonnant, ancien des commandos de marine, corps de sportif puissant, originaire du Maghreb avec des yeux très noirs et une peau mate aux senteurs épicées. Dès son arrivée je fus attirée par son autorité naturelle, sa maîtrise issue d’une longue pratique de la vie militaire et sa compétence professionnelle que je pus observer lors d’un vol dans les locaux de mon service.

Il me fit venir dans son bureau pour signer son compte rendu d’enquête. Il avait remonté ses manches de chemise et je voyais ses avant-bras musclés, décorés de tatouages souvenirs de ses campagnes lointaines. Je fus subjuguée et le regardais avec un trouble qu’il saisit immédiatement. Lorsque nous en eûmes fini il me proposa de prendre ...