1. Agréable voisine (5)


    Datte: 08/04/2020, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Auteur: tamilboy69, Source: xHamster

    ... sous mon menton car mon pénis commence à suinter de liquide séminal.
    
    Son méfait terminé, elle se relève, retenant ma robe, s’approche, relève la sienne, et présente le gode sur mon œillet. Elle laisse échapper un filet de bave dessus pour le lubrifier puis pousse pour entrer en moi, sans vraiment de problème. Centimètre par centimètre, elle vient s’installer au fond de moi puis déclenche des petits va-et-vient d’environ un centimètre d’amplitude, si bien que je sens sa fausse bite glisser contre ma prostate. Elle s’empare de la mienne, la flatte, la branle, et commence à reculer, continuant de m’astiquer. Elle se renfonce fortement en moi comme j’ai fait avec elle tout à l’heure, et je ne peux retenir un soupir de plaisir qui frôle le couinement. Jouant de mon plaisir, elle reprend de petits mouvements en moi, et j’ai de nouveau dans la tête cette image de deux femmes en plein coït, quand soudain nous entendons la porte des toilettes s’ouvrir. Nous entendons des pas, la cabine à côté s’ouvre puis se ferme. Marie profite de ce moment de flottement pour renvoyer un coup de rein puis bloquer pour rester au fond de moi, elle accélère sa branlette et me fait crépir le mur, tout en s’écroulant sur moi en se retenant de crier.
    
    Toutes deux ...
    ... chancelantes, nous tentons de nous remettre vite en ordre. Marie se retire de mon derrière, puis enlève le double gode pour le nettoyer et le ranger. Je prends dans son sac les lingettes pour nettoyer, dans un premier temps mes parties, mon derrière, puis tant bien que mal le mur ainsi que le plug que range dans le sac. Une fois propres et calmées, nous nous rhabillons, et Marie retire et nettoie son plug également, et je remonte ma culotte comme ça sans remettre en place mon pénis. Marie réajuste ma perruque ainsi que mon maquillage, et je sors la première de la cabine, et ayant le passage libre, indique à ma comparse de me suivre. Ayant perdu la notion du temps, je m’empare de mon sac à main et de mon téléphone : trois heures du matin. J’en profite pour remplacer les talons par des ballerines, car je fatigue au niveau des chevilles. Nous restons encore un moment à table, et fatiguées, décidons de rentrer. N’ayant pas consommé d’alcool depuis le passage à la nouvelle année, c’est sereinement que nous reprenons la route pour rentrer.
    
    Exténuées par cette incroyable expérience, on prend tout juste le temps de se démaquiller et retirer nos bijoux, puis nous nous endormons sur le lit, en position de cuillère, toutes deux encore habillées. 
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