La patronne de ma mère est une cougar (7)
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
Transexuels
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... j’enfile les cuissardes, j’avais un peu peur de ne pas pouvoir rentrer dedans, mais Muriel avait tout prévu au niveau de la taille. J’étais devenu en quelques minutes une femme fatale, tout comme elle, par-dessus ça elle m’avait demandé de me raser de près avant de venir. Muriel a aussi pensé à me pomponner tout le corps avec un parfum très féminin, je sentais la femme distinguée. Quand elle s’est approchée de moi avec le gros collier en cuir, sur lequel était accrochée la laisse, sur le coup j’ai refusé. Je me suis pris une énorme gifle dans la figure, je peux vous garantir que je n’ai pas refusé deux fois.
J’en ai eu les larmes aux yeux, mais ça y est, j’étais en train de me laisser faire ; Muriel me tenait en laisse. Par-dessus ça, elle m’a mis de larges bracelets cuir aux poignets, qu’elle a attachés ensemble dans mon dos. Je lui étais totalement soumise, et elle allait pouvoir faire ce qu’elle voulait de moi pour la soirée. J’ai honte de le dire, mais dans une telle tenue, dans de telles conditions, j’étais encore plus excité. Elle est partie dans la salle de bain, pour en ramener une superbe perruque, elle me l’a posée sur la tête ; on avait vraiment l’impression qu’elle avait l’habitude de faire ça. Cela lui a facilement pris une dizaine de minutes pour poser le postiche, mais en une demi-heure, j’étais devenu une femme. J’avais maintenant de longs cheveux raides et châtains qui descendaient légèrement en dessous de mon poitrail, avec une telle tenue je ne pouvais ...
... que me sentir femme. Le plus beau c’est que j’étais hyper excité, ainsi accoutré, j’avais envie de faire des folies sexuelles ce soir. Par contre je n’avais pas d’autre choix que de subir, et c’est ainsi qu’elle m’a emmené dans le séjour. Le frottement de tous les vêtements entre eux m’excitait toujours plus et cela me faisait tout drôle de marcher avec ses cuissardes à petits talons. Muriel venait de me transformer en véritable salope, quand elle m’a fait respirer l’essence d’un petit flacon, mes sensations se sont décuplées.
J’avais désormais envie de sexe, rapidement, coûte que coûte, sur-le-champ. Quand je suis arrivé dans le séjour, je suis tombé de haut, un grand et bel homme, sans doute sexagénaire, était là à m’admirer. Muriel est venue me dire discrètement à l’oreille.
<<C’est un collègue de travail.
Si tu ne veux pas qu’il sache que tu es le fils de Christiane, il va falloir que tu sois très obéissant ce soir.
Je ne veux pas que tu le contraries.>>
Muriel a tiré sur la laisse pour m’approcher de lui, et au moment où je pensais qu’il allait me faire la bise, il m’a carrément embrassé sur la bouche. Sa main est venue me la tenir pour ne pas que je puisse reculer ma tête, c’est ainsi que pour la première fois de ma vie je roulais une pelle à un homme. Je ne sais pas ce qui se passait en moi mais le fait de l’embrasser avait l’air de m’exciter énormément. Pendant ce temps, Muriel était en train de lui caresser le sexe, il avait l’air de beaucoup apprécier ...