Jouissances familiales tumultueuses (5) - Histoires de Sexe

Jouissances familiales tumultueuses (5)

... présentent moins souvent. À mon âge il faut être plus inventive…

— Mais vous n’êtes pas vieille Simonie. Beaucoup d’hommes seraient attirés par une belle femme comme vous.

— Vil flatteur ! Vous feriez mieux de me redresser. Vous verrez mieux ce qui vous intéresse tant.

Bob prend Simonie sous les bras pour l’attirer vers lui pour retaper et aérer les oreillers. Rien que de sentir ses énormes seins contre lui il commence à bander.

— Voila Simonie ça va mieux ?

- Oui, Bob. Vous êtes gentil et serviable. Si je n’avais pas mal à la poitrine se serait parfait.

— Je ne peux vraiment pas faire grand-chose pour ça.

— Vous vous trompez, Bob…ça vous générait de me masser avec un peu de pommade…

— Non…mais il faudrait mieux appeler une infirmière…

— Pas la peine. Les mains d’homme sont plus efficaces pour ce type de massage et plus adaptées à ma poitrine.

Dit-elle en déboutonnant le haut de sa robe.

Simonie a de très larges aréoles grumeleuses et de beaux tétons boursoufflés, rouge foncé, qui sont surement la source de son mal.

— Allez Bob. Si j’ai insisté pour que vous veniez me voir seul, il y a bien une raison. Faites-moi voir si vous êtes aussi doué que m’a petite fille le dit.

Simonie découvre ses opulentes mamelles et avec un plaisir non simulé, Bob masse l’énorme poitrine en prenant ses seins l’un après l’autre dans ses deux mains pour les saisir entièrement. Ses doigts tournent sur ses grandes aréoles qui se gonflent en même temps que ses ...

... tétons. Simonie se laisse faire en soupirant doucement.

— Merci Bob. Aaaahhh… vous avez loupé votre vocation de masseur diplômé. Continuez…ouiii…comme ça… ça me fait du bien.

Bob continue de caresser ses seins en excitant ses tétons et il voit que Simonie a passé une de ses mains entre ses cuisses.

Il glisse une de ses mains pour la poser sur la sienne qui caressait son bas ventre.

— Ooohh, Bob, en plus d’être bel homme, vos mains sont très intelligentes.

- Simonie, le mal se déplacerait-il par-là ?

— Oui, Bob…précisément là. Mais enlevez votre main. Je crois qu’il serait plus sage de s’arrêter là…pour aujourd’hui…

— Simonie…réfléchissez…la vie est courte…le temps pour vous compte double…il faut profiter de chaque instant…Laissez-moi faire.

Bob repousse sa main sur sa cuisse et plaque la sienne sur sa chatte.

— C’est bien chaud par là. Une forêt tropicale très touffue et humide…

— Ooohh, Bob ! Vous êtes fou ! Arrêtez maintenant.

— Taisez-vous Simonie. Vous n’avez plus l’âge de jouer aux pucelles effarouchées.

Ses yeux se portent sur la grosse bosse qui déforme le pantalon de Bob et du coup la grand-mère de Zeïa ne dit plus rien quand les doigts de Bob se faufilent entre ses poils qu’elle ne taille plus depuis plusieurs mois.

Lorsque plusieurs doigts fouillent sa chatte qui pleure de désir caché, elle gémit doucement et sa main est attirée par cette enflure qui grossit devant ses yeux. À tâtons elle déboutonne le pantalon de Bob qui finit ...