1. Les routiers sont sympas (6)


    Datte: 07/04/2020, Catégories: Hétéro Auteur: petikokin, Source: Xstory

    ... pas supporter l’angoisse de l’accident, éventuellement de l’infidélité... Et toi, tu es amoureux ?...
    
    — Je vais te dire franchement... Tu me plais beaucoup... Tu es le genre de fille que j’aimerais avoir pour compagne... Mais moi aussi, je voudrais partager, chaque jour, les responsabilités familiales. Je voudrais voir grandir mes enfants... Je ne serai pas routier toute ma vie... Quand j’arrêterai, je chercherai la femme « idéale »... Nous avons la même conception de la vie familiale... Je voudrais profiter encore, quelque temps, de ma liberté avant de chercher... Alors, puisque nous sommes d’accord, profitons-en... Prenons du bon temps... Passons de bons moments ensemble... Pense à ce que nous allons faire ce soir...
    
    — Je mouille déjà...
    
    Le reste de la journée se passe tranquillement... Nous sommes « sages ». Nous discutons de diverses « banalités » sur le temps, le paysage, les villes et villages traversés...
    
    Á la tombée de la nuit, nous arrivons au poste-frontière Franco-belge d’Halluin. Après avoir mangé et fait notre toilette, nous nous endormons « bien sagement ».
    
    Le lendemain, les formalités douanières terminées, nous reprenons la route.
    
    Á midi, la marchandise est livrée, celle du retour est chargée. Cette dernière sera acheminée sous la règlementation du Transport International Routier (TIR). Cela supprime les arrêts aux frontières. Surtout, cela nous libère du temps. Nous comptons bien en profiter...
    
    Après avoir contourné Gand, nous ...
    ... trouvons une aire de repos où le parking des poids lourds, sous des arbres, est éloigné du bruit de la circulation. J’y immobilise le camion.
    
    Nous sommes seuls. Bras dessus, bras dessous nous faisons quelques pas pour nous « dégourdir » les jambes. De retour dans la cabine, rideaux tirés, nous commençons à nous « peloter », à nous embrasser.
    
    Nos mains « baladeuses » déboutonnent et font glisser nos vêtements. Nous nous retrouvons en slip et « petite culotte ». Chacun peut constater la tension qui « règne » dans le bas-ventre de l’autre. Mon slip ressemble à un mini chapiteau de cirque. La culotte de Christine est trempée depuis l’entre-jambe jusqu’à l’élastique sous son nombril.
    
    Chacun fait glisser et enlève le dernier vêtement de l’autre. Nous nous allongeons pour un soixante-neuf « endiablé ».
    
    Quand Christine atteint son orgasme et que je suis au bord de l’explosion, nous arrêtons pour reprendre notre souffle... Je lui demande :
    
    « La semaine prochaine, je ne sais pas où j’irai... Si c’est à l’étranger. Tu voudras venir encore avec moi ?....
    
    Écoute, tu es gentil... En ta compagnie, j’ai passé les meilleurs moments de ma vie... J’ai gouté tous les plaisirs que mon sexe pouvait me donner... J’étais partie pour visiter Paris... En passant, tu me laisseras là-bas... J’ai encore quelques jours de vacances.
    
    C’est comme tu voudras... Je respecte ta décision... Nous allons nous quitter en « bons amis »... Je vais te faire un cadeau en souvenir de ces moments passés ...