1. À la découverte de ma tante


    Datte: 02/04/2018, Catégories: fh, hplusag, fplusag, oncletante, piscine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... vint se répandre sur la bite de son amant. Tout en restant enfourchée, elle se lova contre lui pour l’embrasser à pleine bouche aussi passionnément qu’elle le faisait avec son mari !
    
    J’en avait assez vu. Et la tension sexuelle devenant insupportable, je préférai reprendre ma course et vous pouvez imaginer que cette fois encore, ma performance ne fut pas à la hauteur.
    
    Je me doutais qu’en fin d’après-midi, elle viendrait me rejoindre à la piscine. Je ne savais si elle avait eu l’occasion de se doucher, mais elle pouvait y trouver un moyen de se laver plus efficacement encore de son forfait.
    
    Cette fois, après son habituel et furtif baiser sur la joue, j’eus le plaisir de la voir plonger devant mes yeux, tendant superbement, comme la corde d’un arc, son corps parfait. Revenue près de moi, elle s’allongea sur le transat et s’enduisit d’écran total pour préserver sa peau si claire et donc fragile, des morsures du soleil. J’aurais aimé qu’elle me sollicite pour que je lui enduise son superbe dos, mais encore une fois, je dus rester sur ma faim.
    
    Je ne pus constater, encore une fois, que son application à éviter mon regard et cette froideur insolite que ne venait interrompre que la plus élémentaire politesse. Je ne peux pas dire qu’elle n’était pas aimable avec moi, mais elle ne laissait rien percer de ce que j’aurais pu prendre pour de l’affection, ou la moindre sympathie. Je me disais, qu’avec le mode de vie singulier qu’elle connaissait, j’apparaissais plutôt comme un ...
    ... obstacle à la réalisation de ses fantasmes, comme une gêne et que secrètement, elle aurait aimé que j’écourte mon séjour. De plus, elle savait forcément que je l’avais entendue avec mon oncle, et si elle ne pouvait refréner ses cris, il était normal qu’elle éprouve une certaine gêne à me revoir la journée.
    
    C’est d’ailleurs une option qui me revenait en tête, car je n’avais rien résolu de ce qui me contrariait ici. Je dois bien avouer que je me sentais terriblement attiré par elle, et lorsque je la voyais ainsi allongée près de moi sur le transat, aux trois quart nue, cela n’arrangeait rien. C’était même plus que cela : aucune fille ne m’avait fait autant d’effet que cette femme à la maturité triomphante, pas même celle qui était la cause de ma venue et que j’avais fini par complètement oublier. J’étais tombé follement amoureux, et si je devais partir, ce serait comme j’étais venu, plus par dépits que par une réalité positive.
    
    Perdu dans ces pensées, je me dis qu’il me fallait aller jusqu’au bout, qu’à un moment ou un autre, il faudrait au moins que je lui exprime mes sentiments, au risque de la rupture. Au moins, je saurais pourquoi je pars, sans regret.
    
    Je ne peux pas expliquer pourquoi elle m’obsédait ainsi. Elle était superbe, mais mon court passé de séducteur m’avait déjà fait emballer pas mal de filles canons ! À l’exception de ma dernière rencontre, j’avais accumulé les aventures sans lendemain et expérimenté pas mal de pratiques sexuelles plutôt débridées : ...
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