1. Quand l'envie est trop présente


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fh, extracon, hotel, noculotte, Masturbation pénétratio, fsodo, ecriv_f, Auteur: Florane, Source: Revebebe

    Quand l’envie est trop présente
    
    Comment faire pour te croiser ? Comment faire pour te rencontrer ? Comment faire pour te retrouver ? Il me faut user d’imagination… Il me faut compter sur ta participation… sans compter, ta disponibilité.
    
    Je réfléchis et mon corps vibre à l’idée de fusionner. Ma respiration change et j’en mouille mon slip. J’y glisse même le bout de mes doigts sur le fin tissu pour frôler ma vulve, pour m’exciter davantage, comme si c’était nécessaire.
    
    Comment trouver la bonne solution ? Idéalement, j’aimerais qu’on se rencontre sur ton heure de lunch. Mais seras-tu disponible ? Toi qui vas toujours manger chez toi, pourras-tu dévier de ton chemin sans rencontrer de problèmes ?
    
    J’élabore un plan et je m’en vais directement à ton bureau. Je te demande à la réception et j’attends patiemment que tu arrives. Tu es surpris de me voir et je te pose simplement la question si tu es libre pour le lunch et à quelle heure.
    
    — Midi trente, ça te va ?
    — Parfait, je reviendrai te chercher pour luncher
    
    Je repars contentée, mais le corps totalement enflammé. Et si tu n’en avais pas envie ? Faut que je trouve la façon de faire pour ne pas avoir à te convaincre.
    
    L’avant-midi passe, des idées folles courent dans ma tête, mouillant constamment mon slip. Je prends une douche avant de partir. J’arrête acheter quelques sandwichs et des jus de légumes puis t’attends dans le stationnement.
    
    12h15… 12h30… mon cœur bat très vite. 12h40, te voilà.
    
    — Désolé, le ...
    ... dernier client en finissait plus de faire la jasette
    — C’n’est pas grave !
    
    Tu te penches vers moi et me fait la bise. Je te donne le sac contenant un lunch et te demande de le tenir.
    
    — Où est-ce que tu as prévu qu’on mangerait ?
    — C’est une surprise mon Gros Loup !
    
    C’est à ce moment que tu réalises que je porte mon imperméable, celui que tu as déjà vu dans d’autres circonstances. Tu te remémores cette journée-là, où lorsque je l’ai enlevé, je ne portais que chaussures à talon et rien d’autres ! Tes yeux courent le long de mon corps, tu te permets de déplacer le bas de l’imper. Tu découvres ma cuisse, tu écartes encore plus le pan du manteau, découvrant encore plus ma cuisse nue.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a Trésor, as-tu un problème ?
    — Oui, il se fait sentir dans mon pantalon !
    
    Je me retourne et tu regardes en avant en souriant. Je reviens à mon chemin en esquissant un sourire en coin, puis ta main se glisse lentement à l’intérieur de ma cuisse. C’est doux, c’est chaud. Ta main monte toujours plus haut, glissant tes doigts sur ma peau sensible. Je suis tellement fébrile de tes caresses que je souhaite que tu en aies envie autant que moi…
    
    J’arrive à destination, un hôtel avec un stationnement souterrain, je déclenche le mécanisme et j’y accède, je me stationne. Je déboucle ma ceinture, tu fais de même, sans faire ni un, ni deux, nos corps s’approchent, nos bouches se dévorent. Tes mains deviennent entreprenantes et j’ai juste envie de tout enlever.
    
    — Luc, j’ai ...
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