1. Obsession


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fh, hplusag, profélève, école, amour, Oral pénétratio, Auteur: Himoshiraï, Source: Revebebe

    ... n’était pas un rêve ! Elle essaya de calmer son cœur parti au galop, de retrouver ses esprits. Elle devait se calmer, mais elle était bien trop excitée ! Elle souriait, sans savoir pourquoi, elle avait un si large sourire qu’elle était incapable de le réduire tellement elle était heureuse
    
    Elle attendit sagement la fin des cours et se dirigea vers la salle des croquis, c’est-à-dire au troisième étage, dans la pièce du fond. Cette salle ressemblait plus à un fourre-tout qu’à une classe : il y avait des mannequins habillés, d’autres pas, des tables au fond de la pièce, un miroir sur la colonne. Enfin, elle aimait bien cette classe, allez savoir pourquoi…
    
    Elle était en avance sur lui. Elle déposa ses affaires dans un coin et l’attendit, assise sur le coin de son bureau. Il arriva, toujours avec son chapeau et ses lunettes. Il arriva à sa hauteur et se débarrassa de son chapeau et de ses lunettes. Il la regarda et dit :
    
    — Bien, va au centre de la pièce, et fais comme les modèles habituels. Juste, je te dirai la pose…
    
    Il alluma une lampe halogène et prit son propre calepin et son propre crayon. Nelly se déshabilla, jusqu’à être en sous-vêtements, comme les modèles. Elle avait lâché ses cheveux, attendant les consignes suivantes.
    
    — Bien, prends une chaise et assieds-toi dessus, les jambes écartées et tes mains entre.
    
    Nelly s’exécuta sur-le-champ, sans poser de questions. Le professeur eut de nouveau ce même sourire mystérieux avant que l’on entende la pointe du ...
    ... crayon sur le papier épais de dessin. Il était sérieux, concentré, tandis que Nelly semblait aussi immobile qu’une statue. Au bout de 15 minutes, il reposa son calepin. De fait, une pose ne durait que 15 minutes, car il était difficile pour le mannequin de rester immobile longtemps.
    
    Il invita Nelly à le rejoindre et lui tendit le dessin. Elle resta en admiration. C’était si beau, si fin et elle se reconnaissait parfaitement. Il avait réussi à la dessiner en si peu de temps… Les traits étaient précis, pas une seule fois il avait gommé pour en recommencer un. Elle le lui rendit en ne disant mot. Il l’attrapa fermement par le bras et la prit contre lui, sur ses genoux. Nelly avait peur, mais en même temps, elle était excitée. Oui, elle avait envie de lui ! Cela faisait six mois qu’elle lui vouait une passion sans limite.
    
    Le professeur resta calme, ne faisant que l’observer avant de venir effleurer ses lèves tendres d’un index délicat. Il l’embrassa dans le même élan, doucement, tendrement. Ce baiser avait un goût d’opium et Nelly regretta qu’il soit déjà fini. Ses lèvres était tendres, sucrées, parfaites !
    
    Il sourit et elle lui rendit la pareille avant qu’il n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit ! Elle enlaça son cou, lui sa taille. Elle était passionnée dans son baisser, fougueuse, presque violente. Cela ne sembla pas déranger Monsieur Sinik. Quand elle se détacha de ses lèvres, elle l’entendit murmurer :
    
    — Nelly…
    
    Elle le regarda, sentant la température de son ...
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