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Eros et Aphrodite
Datte: 06/04/2020, Catégories: fh, copains, vacances, hotel, revede, BDSM / Fétichisme Auteur: La Fée Lubrique, Source: Revebebe
... exposé devant mes yeux ébahis. — Mais… Qu’est-ce que tu fais ? Mathias est torse nu, son pantacourt beige encore sur lui, pieds nus. Il prend des poses de dieu grec devant la psyché de sa chambre. Je remarque que sa peau est luisante et fais immédiatement la connexion avec son achat de monoï de cet après-midi, l’odeur a maintenant envahi la petite pièce. Après l’étonnement, la phase « je mate Math » débute. Bien que meilleurs potes depuis toutes ces années, je ne l’avais jamais vu torse nu. De temps à autre, pour faire le con, il a pu me montrer un bout de peau et de pilosité clairsemée, mais rien de plus. Absence d’abdos, il est sec et fin, comme j’aime. Il fait ressortir ses biceps avec ses pauses et sa belle gueule de blondinet prend soudain des airs de virilité comique tout à fait intéressants. Comme il ne répond pas à ma question, je rajoute sur le ton de la blague : — Tu te la pètes pas un peu Apollon ? Son regard perçant passe alors de son reflet à ma personne. Il me détaille des pieds à la tête et me sourit avec ce petit rictus que je sais être le « mode coquin ». Il fait trois pas vers moi et lève son bras au-dessus de mon épaule. Je recule et bute contre la porte, qu’il ferme d’un geste rapide de la main. — Je préfère Éros si cela ne t’embête pas. N’ayant pas pour habitude de me dégonfler face à ses provocations, je fais fi de notre tenue à tous les deux et de mes seins qui pointent sous le tissu brillant noir : — Je peux peut-être jouer les ...
... Aphrodite moi ? Il me sourit sans répondre. Il se recule pour me laisser respirer et me détaille à nouveau. Il bloque sans sourciller sur mes seins. Sa main les approche mais ne les touche pas. Ma respiration se fait plus haletante. — Tu as froid ? demande-t-il en jetant un œil sur les deux petites pointes à travers le tissu fin. Il se fout ouvertement de ma poire et teste les limites. Mais au jeu du « t’es cap ? » il est tombé sur quelqu’un d’aussi buté que lui. C’est une porte ouverte sur un jeu dont je ne connais pas l’issue et je m’engouffre dans l’ouverture béante. Je me rapproche de lui et regarde son entrejambe. Je passe le cran au-dessus et effleure le tissu du pantacourt en plongeant mon regard dans le sien. Je le vois tressaillir mais ne pas faiblir. Malgré tout, l’effet escompté ne se fait pas attendre et une jolie bosse se dessine sous le tissu beige. — Toi par contre tu as l’air d’avoir chaud non ? Je passe devant lui en effleurant de mes doigts son ventre luisant et vais chercher la petite bouteille de monoï qui est posée sur la table de nuit. En me penchant je dévoile un bout de mes fesses nues. Mon cœur bat à tout rompre et je commence à sentir la chaleur envahir mon bas-ventre. Je me retourne vers lui en ouvrant la bouteille. Il est resté à sa place près de la porte et a noté mon absence de dessous étant donné que la bosse est beaucoup plus visible. — Tu permets que je t’en emprunte un peu, histoire de voir si moi aussi je peux jouer les ...