1. Ma vie d'étudiant


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fhh, grp, hbi, jeunes, voisins, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, échange, init, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... noir comme l’ébène, sans aucune pénétration ; tout juste déposait-elle de petits bisous sur la tige.
    
    — J’ai posé pour la première fois le jour de mes 18 ans, pour le père de mon petit copain de l’époque. Finalement j’ai couché avec les deux… Pas ensemble : l’un après l’autre. J’aurais voulu poser pour Playboy, mais ils n’ont pas voulu. Avec la barbaque qui pendouille de ma vulve, même les jambes serrées ça se voit trop, et le milliardaire Hugh Hefner ne veut pas voir des choses comme ça dans son prestigieux magazine.
    — Oui, Playboy n’est pas Penthouse, dit Éric ; il a déjà eu du mal à publier les photos d’une playmate le sexe totalement rasé.
    — Alors, du coup je pose pour des photographes qui sont beaucoup moins soft, même si cela reste de l’érotisme. À part ce Black, je ne pose jamais avec des hommes. Je ne suis pas une pute ou une actrice de cinéma porno. Encore qu’en dehors du plateau, je me le serais bien fait, mais il n’avait rien à foutre de moi. Dommage.
    
    Lorsque nous nous retrouvions tous les quatre, ce n’était pas pour des discussions oisives, ni même philosophiques. C’était pour le plaisir des sens. Nous n’étions pas longs à être à poil et à faire l’amour indéfiniment avec une des deux filles ou un mec et échangeant les partenaires selon les goûts, les moments ou les hasards des étreintes. Les scénarios étaient multiples et toujours improvisés, lutinant un sexe pour en perforer un autre, allant indéfiniment d’un homme à une femme. Parfois, lorsque nos ...
    ... amantes avaient encore quelques ardeurs alors que nous, les mâles, étions sans vie, elles faisaient l’amour en véritables lesbiennes devant nous, avec une impudeur toute particulière qui rendait la chose magnifique.
    
    Cette vie à quatre me convenait parfaitement. D’une part, il y avait une existence sexuelle sans tabous ou hommes et femmes couchaient ensemble, indifféremment les uns avec les autres. D’autre part, il existait dans notre groupe une cohésion que je pourrais définir comme une notion de fidélité. Deux femmes, deux hommes : trois partenaires potentiels pour chacun, sans qu’il y ait la moindre duperie. Car ni les uns ni les autres n’allaient voir ailleurs. Ayant toujours vu l’amour comme le fait de donner à l’autre le bonheur auquel il a droit, Alice prenait du plaisir avec Éric, Éric prenait du plaisir avec Alice, j’étais donc ravi qu’ils soient ainsi satisfaits. Quand Léa s’est jointe à notre trio, je fus également comblé, car j’éprouvais pour elle un attachement profond.
    
    Nous restions dans un cercle restreint, d’autant plus que la confiance était l’un des principes de nos relations. Afin d’éviter de s’embarrasser de préservatifs, nous avions fait des tests de dépistage du SIDA. Nous pouvions baiser sans crainte, en totale liberté et en allant des uns dans les autres en mélangeant nos sécrétions. Ainsi n’ai-je jamais éprouvé de répulsion à pénétrer le vagin ou l’anus d’une de nos partenaires où Éric venait de répandre son foutre, et ce, malgré quelques bruits qui ...
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