PoPé, Producteur Porno à Paris 3: Judith (18)
Datte: 05/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: petdyke, Source: xHamster
... maintenant un bout de nana parfaitement comestible, qu’on pouvait joyeusement poutrer sans craindre la justice. Plusieurs fois, je m’étais imaginé faire avec elle ce que n’importe quel mec un tant soit peu libidineux rêve de faire à une femme. Du sexe bien vicieux, aucune retenue, aucune parcimonie.
J’étais loin de penser que ma chère Judith allait avoir quelques problèmes avec la drogue et que, fauchée, n’ayant plus un radis pour payer son dealer, elle atterrirait dans mon bureau, tout à fait au courant de mes activités.
C’était un mercredi matin vers onze heures. Elle m’arrivait directement de la fac avec son sac à dos et ses vêtements troués. Elle a frappé à ma porte. J’ai vraiment cru que j’hallucinais quand je l’ai reconnue.
Elle portait un sweater bleu à capuche et un treillis kaki trop grand pour elle. Ses cheveux étaient noués, ses yeux soulignés d’un trait de khôl et ses paupière recouvertes d’un fard couleur charbon. Elle semblait fatiguée, avait de légères cernes qui conféraient à son visage un air détruit, abîmé mais complètement bandant. Une sorte de lueur molle émanait de ses lèvres.
« Qu’est-ce que tu fous là ? »
« J’ai besoin de cinquante euros, je sais que tu me les donneras si je te laisse me baiser. »
« Comment tu peux en être si sûre ? »
« Je le sais, c’est tout. »
« Ok. Amène-toi par là… »
J’ai pris la caméra, ai fait asseoir Judith sur mon bureau puis j’ai commencé à lui retirer ses vêtements.
J’ai dégrafé son ...
... soutien-gorge et ses nichons m’ont mis littéralement la queue à vif.
Aujourd’hui encore, les nichons de Judith sont gravés dans ma mémoire comme les plus beaux nichons
qu’il m’ait été donné de bouffer. Ils tenaient dans la paume de la mains, la peau en était pâle comme le lait d’une brebis, ils étaient couronnés d’aréoles d’un rose tendre, matinal et presque translucide.
Je les ai sucés pendant de longues minutes, comme s’il s’agissait des premiers nibards que je voyais,
puis j’ai dit à Judith de se mettre debout et lui ai baissé sa culotte, offrant à l’objectif de mon caméscope
une petite moule duveteuse et - mon doigt avait glissé dedans - fortement humectée.
« Ma petite salope, me suis-je presque écrié, je peux te dire que j’en vois passer des chattes par ici, mais cette chatte-là, depuis le temps que j’en rêve, je te promets que vais lui infliger un traitement tout particulier ! »
J’ai sorti ma queue pour qu’elle me pompe. Elle s’est mise à genoux et l’a prise entre ses lèvres.
Sa bouche étaient bien chaude, moelleuse et confortable. Ce n’était pas une reine de la pipe,
mais elle ne s’y prenait pas trop mal. Elle a voulu me branler mais je lui ai ordonné de garder
les mains dans le dos et de me fixer droit dans les yeux. Je l’ai choppée par les cheveux,
son nez a buté contre mon ventre, je me suis enfoncé si profondément dans sa gorge
que je me suis attendu à voir ma bite sortir de son trou du cul. Alors je l’ai relevée, rapidement.
Je l’ai ...