1. JOSIANE (1)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    - Dis Alain, j’ai eu un appel de Josiane me demandant si tu voudrais bien lui donner un coup de main…
    
    - Un coup de main à faire quoi ? La coupais-je.
    
    - J’allais te le dire avant que tu me coupes la parole.
    
    - Excuse-moi maman.
    
    - Bon ! Refaire le papier peint de sa chambre. Ajouta ma mère.
    
    Cela fit sourire mon père, assis en train de lire son journal.
    
    - Je touche quoi dans l’affaire.
    
    - Enfin Alain, tu sais bien qu’elle est veuve, donc pas de gros revenu.
    
    - Bon… bon ! Dis-lui que je suis d’accord…
    
    - Merci mon fils.
    
    - Et je dois m’y rendre quand ? Chez ta copine ?
    
    - Demain…
    
    - Demain… mais…
    
    - Mais quoi ! Me coupa-t-elle. Tu ais en vacance à ce que je sache. Et tu ne sais pas sans le savoir que par ta présence tu lui rendras un grand service.
    
    - Si tu le dis.
    
    Et ce fut suite à cette petite discussion que je me suis trouvé le lendemain matin dans l’appartement de Josiane. En train dans un premier temps, de déménager tout le contenu de la chambre pour faire place vide.
    
    Josiane pour vous la décrire avait les cheveux teint en blonde, pas très grande, pas grosse, juste bien en chair et cela lui allait très bien. Aux yeux verts limpide qui cristallisaient l’attention. Elle portait ce matin là, une blouse en nylon de couleur bleue, lui arrivant au-dessus du genou, boutonnée sur le devant. Qui m’avait permit d’entr’apercevoir, au gré de ses nombreux mouvements, des morceaux de chair laiteuse de ses cuisses. Et parfois même, des segments de ...
    ... la culotte qu’elle portait, de couleur blanche.
    
    À midi, elle m’a invité à partager son déjeuner. Sitôt la crème brûlée fait maison avalé, nous avons repris le travail. Qui consistait de mettre les murs à nu. De lui retirer l’affreux papier peint à fleurs qui les tapissaient. Elle a insisté pour que je m’occupe de la partie basse des murs se réservant la haute.
    
    - Les rhumatismes ! M‘a-t-elle lancé. Tu verras quand tu auras mon âge…
    
    Et puis nous nous sommes mis au boulot. Josiane comme convenue, perchée sur son escabeau. Mais très vite je me suis aperçu qu’il y avait un avantage pour moi d’être en bas. Une chance inouïe de pouvoir jeter de temps à autre en toute innocence un œil sous sa blouse. Et pour un voyeur comme moi c’était une vraie mine d’or. Surtout que Josiane candidement m’offrait de différent postures, selon qu’elle s’agitait, se contorsionnait, se penchait en avant, basculait en arrière. Ce faisant, sa blouse avait tendance à glisser vers le haut. J’étais comme fou de désir.
    
    J’ai quitté l’appartement quelques heures plus tard, avec plein d’images polissonnes dans la tête. De quoi alimenter ma branlette du soir. Que pour donner une odeur aux images, je me suis muni d’une culotte portée de ma mère. Chiffonnée, et alourdie par l’absorption de trop de substances vaginales.
    
    Le lendemain, je me suis réjoui d’avance d’aller rejoindre Josiane. Quand je me suis introduit dans l’appartement, j’ai cru défaillir en l’apercevant maquillée plus qu’à l’accoutumée. ...
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