1. Une aventure érotique : Petit boulot et gros cochon


    Datte: 04/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: DeLaLune, Source: Hds

    J’aimerai me dire que cette histoire ne s’est jamais passée, que c’est juste le fruit de mon imagination et pourtant elle est bien réelle et chaque fois que j’ai le malheur d’y penser je mouille abondamment ma petite culotte ou mon string…
    
    Il y a de cela cinq ans, j’étais encore étudiante et pour payer mes études, mes parents m’avaient trouvé un petit boulot de repassage chez un de leur ami qui se nomme Roger.
    
    Roger est célibataire, la quarantaine, les cheveux dégarnis et bien gros. Ce vieux garçon est vraiment repoussant avec sa graisse qui déborde de partout, son front toujours luisant de sueur et sa façon de parler graveleuse. Vraiment un remède contre l’amour ! Ses déboires amoureux était nombreux et j’ai souvent entendu mes parents parler de lui comme quelqu’un qui ne se comportait pas toujours bien : misogyne et un penchant sérieux pour la bouteille. Moi je l’avais souvent vu à la maison venir voir les matchs de football lors des soirées européennes. L’homme, depuis que j’avais pris mes formes féminines me reluquais à la dérobée et je trouvais cela dégueu et déplacé !
    
    Pendant que je repassais ses habits immenses, Roger était vautré sur son canapé à regarder des téléfilms insipides sur son téléviseur 16/9 °. Il faisait chaud et je n’étais habillée que d’un débardeur et d’un petit short, Roger comme à son habitude ne se gênait pas pour me mater du coin de l’œil. Lui était habillé d’un marcel et d’un short large. Sa graisse dépassait de partout et la chaleur ...
    ... rajoutait, si c’était possible, encore plus de sueur sur son corps qu’à l’accoutumée. Il commentait sans arrêt ce qui se passait à la télévision en insistant souvent sur la beauté des actrices… Enfin, ce n’était pas tout à fait le langage qu’il utilisait… C’était plutôt :
    
    « Regarde moi ces salopes comme elles sont bien roulées… »
    
    Ou bien :
    
    « Putain la paire de nibard qu’elle a celle là… On en mangerait ! »
    
    Je n’étais pas vraiment outrée, j’avais l’habitude de l’entendre parler de la sorte mais quand même, si les pauvres actrices pouvaient entendre ce qui se dit sur leur dos… peut être que cela leur plairait… Oups ! Quelle pensée vient de me traverser ! Mais à bien y penser cela doit être excitant de se savoir désirée de la sorte, comme une femme objet, une salope ! Ma réflexion m’étonna et me fit rougir devant ma table à repasser.
    
    Je continuais donc trois fois par semaines à me rendre chez Roger. Celui-ci était toujours affalé devant son poste de télévision quand un beau jour il regarda un film un peu coquin… Pas un film porno, non, mais un film où les nanas sont habillées très très court et où l’histoire, ras les pâquerettes, aborde le thème de l’érotisme.
    
    Roger comme à l’accoutumée, se délectait d’ajouter ses commentaires au film… Et moi cela m’excitait de l’entendre traiter ses jolies filles de greluches, de pétasses, de salopes et autres noms d’oiseaux ! Roger, se rendant compte de mon trouble me demanda si je voulais qu’il change de film, si cela me gênait, ...
«123»