Rencontre en covoiturage (1)
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: poumba, Source: Xstory
... espérer voir la tête du petit chanceux qui a tiré le gros lot. Je la salue et profite d’être juste en face d’une station essence pour aller faire le plein.
Alors que je m’apprête à repartir, je jette un dernier coup d’œil et voit mon ex passagère sortir de l’immeuble et partir d’un pas hésitant vers le centre-ville. Je reprend ma voiture et me porte à sa hauteur.
— Iris ?
— Ou... Oui ? Me répond elle, étouffant un sanglot
— Tu n’es pas avec ton ami ?
Elle s’arrête net, s’assoit par terre et fond en larmes. Je m’arrête, sors de la voiture et me précipite auprès d’elle.
— Que se passe y-il ?
— C’est... c’est Fred. Je... je suis rentrée et il était avec... il faisait... il s’envoyait en l’air avec une autre !
Je n’ai jamais été très fort en consolation. Je fais ce que je peux. Je sens qu’elle grelotte, elle n’est vraiment pas bien.
— Je peux te déposer quelque part ?
— Je vais aller à l’hôtel... je pense.
— A l’hôtel ? Non non non. Tu sais quoi ? Je te propose de venir passer la nuit chez moi. Tu y seras bien mieux qu’à l’hôtel et tu auras une oreille à qui parler.
Elle ne réagit pas, ses yeux sont emplis de larmes, de déception, de colère, mais aussi de frustration. Elle qui avait placé tant d’espoirs dans cette soirée, les voilà réduits à néant, pulvérisés par la bêtise du connard avec qui elle voulait partager sa vie.
Je prend l’initiative, récupère sa valise, la met dans le coffre, puis je l’aide à se relever et à s’installer côté ...
... passager. Je la ramène chez moi. Une fois arrivés, je l’installe dans le salon le temps de faire mon lit. Je vais prendre mon canapé et fait mon galant, je lui laisse le lit.
Il ne me faut que quelques minutes pour préparer un nid douillet. Un drap housse, un drap plat, une bonne couette et le tour est joué. Je prend en même temps une couette pour moi et me dirige vers le salon.
Iris est allongée sur le canapé, endormie, paisible mais sûrement épuisée. Je n’ose pas la réveiller ni la toucher. Elle porte encore sa jupe mais a eu la présence d’esprit de retirer ses chaussures et sa veste. Je me résigne alors à la border avec la couverture et à aller me coucher dans le lit, non sans avoir une dernière regardé cette femme sublime, mais effondrée, qui dort dans mon salon.
Je peine à trouver le sommeil, et lorsqu’il commence à venir, c’est la lumière du salon qui me réveille. Je suis à moitié endormi mais n’entend qu’Iris s’affaire, elle doit sûrement enfiler une tenue plus appropriée. Alors que je suis sur le point de m’endormir, la porte de ma chambre s’ouvre et une présence fait le tour de mon lit et vient se coucher près de moi.
Sans dire mot, Iris vient se coller à moi, couché sur le côté, son dos collé à mon torse. Je la sens bouillante, brûlante. Ma main gauche vient se poser sur son épaule, puis se laisse descendre sur son sein gauche. Elle ne dit rien.
Les minutes passent, interminables. Nous sentons tous les deux une tension sexuelle s’installer. L’ambiance est ...