1. I - Liaisons dangereuses (52)


    Datte: 03/04/2020, Catégories: Hétéro Auteur: flyx13, Source: Xstory

    ... place ses lèvres à quelques centimètres de mon oreille.
    
    — Alors prends-le ; me lâche-t-elle tout bas avant d’aller délicieusement me lécher le lobe de l’oreille.
    
    Sa caresse me provoque un frisson dans tout le corps et je lâche un long gémissement de plaisir.
    
    — Le truc c’est que je n’ai pas réveillé ce côté-là avec ma bouche.
    
    — Alors fais ce que tu as à faire ; lance-t-elle en libérant mon oreille.
    
    Je me retire d’elle et sans attendre, je vais me remettre dans la même position que tout à l’heure. Elle écarte amplement les jambes et je passe d’abord ma langue sur son sexe trempé avant d’aller effleurer son périnée pour arriver à son anus. Je passe le bout de ma langue tout autour de son petit trou avant de le lécher plus franchement, ce qui semble la contenter si j’en juge par ses gémissements qui reprennent de plus belle. Puis, je cale mon majeur dans sa chatte et vais ensuite lentement appuyer sur sa rondelle qui finit par céder sous cette pression digitale et par s’écarter pour me laisser la pénétrer ; je vais et je viens entre ses fesses, tournant mon doigt doucement pour bien détendre son anus. Cette pénétration suffit à la faire gémir mais quand elle m’a glissé à l’oreille ce qu’elle voulait, je ne crois pas qu’elle pensait qu’à mon doigt.
    
    Après quelques instants à continuer ce jeu, je dépose de la salive sur son petit trou et fais de même sur mon gland puis je me redresse ; je lui fais resserrer ses jambes afin qu’elles soient bien collées l’une à ...
    ... l’autre et positionne mes genoux de part et d’autre. Je me masturbe quelques instants pendant lesquels elle vient agripper chacune de ses fesses pour bien les écarter, m’offrant ainsi un accès facile à son anus brillant de salive. Je m’approche encore et place mon gland gonflé de plaisir au bord de son cul, je maintiens fermement ma queue et appuie lentement jusqu’à voir son trou s’agrandir, petit à petit. Jenny pousse de petits cris en saccades à mesure que mon pieu, inébranlable, avance dans son fondement ; une fois en elle, je me mets à la sodomiser, d’abord en douceur puis plus rapidement quand je la sens se détendre.
    
    Je remplace ses mains par les miennes pour bien écarter ses fesses alors que les siennes vont de nouveau se crisper autour des draps déjà froissés. Les yeux fermés, elle savoure cette sodomie en poussant des couinements sonores à chaque fois que ma queue se retrouve bien profondément en elle, couinements qui se rapprochent et s’amplifient de plus en plus à mesure que j’accélère mes mouvements. J’ai les yeux calés sur son cul que j’écarte amplement de mes mains, mes doigts enfoncés et crispés sur la peau de ses fesses, je suis hypnotisé par ma bite ramonant son anus qui m’enserre délicieusement. Mon dard est de plus en plus dur, la veine se dessinant sur le dessus de celui-ci de plus en plus gonflée, je sens que je ne suis pas loin de craquer.
    
    Je m’allonge de nouveau au-dessus d’elle pour m’approcher de son visage.
    
    — Je vais jouir Jen’.
    
    — Hmmmmm oh ...
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