La mélodie du bonheur
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
fh,
anniversai,
fsoumise,
hdomine,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... était contraire au sien. Il leur était arrivé de s’engueuler et il n’avait jamais cherché à avoir le dessus en se comportant en dominateur. Par contre, en matière sexuelle, il était intraitable, au plus grand bonheur de sa compagne. Il ne laissait rien passer, tout en se montrant particulièrement attentif à ses besoins et à ses envies. Il la surprit la semaine suivante en lui demandant :
— Dis-moi, depuis que nous sommes ensemble, tu ne t’es jamais masturbée ?
— Non, puisque vous ne me l’avez interdit, répondit Élodie.
— Ça te manque ?
— Oui, un peu, j’aimais bien ça, avoua Élodie.
— Montre-moi, dit-il.
Élodie crut avoir mal compris mais il insista :
— Je veux que tu te masturbes devant moi maintenant, soumise. Je veux voir comment tu te donnes un orgasme.
Élodie ne s’était pas fait prier et Gilles sembla apprécier, puisqu’il lui proposa régulièrement de recommencer.
Quelques jours plus tard, Élodie avait à nouveau reçu l’ordre de se rendre chez son amant et de s’attacher après s’être affublée des objets désirés, sauf que cette fois, elle s’attacha en omettant de mettre le bandeau. La punition fut à la hauteur de l’oubli et Élodie ne refit plus cette erreur.
Un autre dimanche, il lui interdit de manger, l’obligeant à rester sous la table, à le sucer tandis qu’il déjeunait tranquillement. Il lui expliqua que cette forme de domination était bestiale. En effet, tous les animaux vivants en société utilisent les repas pour assouvir leur autorité : les ...
... dominants mangent en premier, alors que les autres attendent en silence en les regardant s’empiffrer, ne leur laissant que les plus mauvais morceaux.
Ainsi, pendant plusieurs semaines, la vie continua, entre vie commune banale mais tendre et jeux sexuels imprévisibles et délicieux.
Un soir, juste après le dîner, Gilles tendit les bracelets à Élodie. C’était rare, car ils ne jouaient pas souvent chez Élodie, préférant l’insonorisation de l’appartement de Gilles. Elle les passa tout de même, faisant entièrement confiance à son maître. Il lui fit signe de le suivre jusqu’au salon. Il ferma les rideaux puis s’installa sur le canapé, et lui souffla :
— Il y a une chose que tu m’avais demandée et que je ne t’ai jamais offerte, bien que t’ayant promis de le faire.
Là, Élodie ne voyait pas.
— Je veux que tu te donnes un orgasme avec mon sexe. Je ne te toucherai pas. Tu seras seule maîtresse de ce jeu. Tu pourras me caresser autant que tu le souhaites mais il te sera interdit de te toucher.
Les yeux d’Élodie brillèrent. Elle s’approcha de Gilles et le déshabilla avant de se dévêtir elle-même. Elle passa ses mains sur son corps bien fait et l’embrassa, alors que Gilles, les bras posés sur le dessus du canapé, se laissait faire. Après avoir excité son amant d’une courte mais excellente fellation, Élodie se mit à califourchon sur lui et s’empala sur son sexe ferme. Gilles regarda sa compagne bouger sur lui, appréciant la vue de sa poitrine montant et descendant, de son corps ...