La mélodie du bonheur
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
fh,
anniversai,
fsoumise,
hdomine,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... Gilles.
— Là n’est pas la question ! Tu aurais pu me les donner en privé !
— Tu les mettras ? répéta Gilles d’une voix calme.
Élodie céda et sa colère disparut.
— Bon, d’accord, tu ne veux pas d’une dispute.
— Pourquoi faire ? Je suis persuadé que sur le moment, tu as été gênée mais maintenant ? Qu’en penses-tu ?
— Oui, bon, peut-être… J’admets que c’était excitant et érotique.
— Tu les mettras ? lança Gilles pour la troisième fois.
Élodie ouvrit la boîte et sortit les deux pinces à tétons reliées par une chaînette.
— Sincèrement, je n’en sais rien, dit Élodie. Je n’aime pas trop ça, tu sais.
— Je trouve qu’une femme est sublime quand elle ne porte que ça et les bracelets de soumission. Elles sont neuves. Je suis allé en acheter spécialement pour toi parce que celles que j’avais étaient trop dures. Ce sont les plus douces du marché. S’il te plaît, tu veux bien au moins essayer ?
Élodie fit la moue puis souffla :
— D’accord, mais c’est bien pour faire plaisir à mon maître.
— Il en sera plus qu’heureux, répondit Gilles en souriant. Par contre, mon cœur, ne les mets pas toute seule. Je veux voir ta réaction lorsque tu les mettras.
— D’accord, dit Élodie.
Elle alla ranger les pinces dans un tiroir de la table de chevet, puis elle se dirigea vers la porte mais Gilles l’arrêta. Il l’attrapa et la maintint fermement contre le mur. Élodie comprit qu’il jouait et attendit de voir.
— Que pense ma soumise de sa nudité sous sa jupe ? demanda Gilles.
— ...
... C’est… étrange. À cause des boules de geisha, je mouille beaucoup et comme je ne porte rien, j’ai peur de dégouliner. Et puis, la culotte retient normalement un peu les odeurs et là, j’ai l’impression que tout le monde respire mon plaisir.
— Ce n’est pas désagréable, dit Gilles en passant une main sous la jupe de sa compagne.
Sa main remonta la cuisse et Élodie ouvrit les jambes mais Gilles s’arrêta avant d’atteindre son intimité. Il s’éloigna et lança :
— Mets-toi à quatre pattes.
— Maintenant ? Ici ? s’exclama Élodie.
— Serait-ce un non déguisé ? accusa Gilles.
Élodie baissa les yeux et obéit à son maître. Il remonta sa jupe sur son corps de manière à dégager ses fesses. Élodie s’offrit volontiers, offrant une vue magnifique à son amant. Gilles s’approcha et, après avoir retiré les boules de geisha, la prit, alternant les deux orifices. Bientôt, Élodie demanda la permission de jouir.
— Fais, mais ne crie pas. Du salon, on entend assez bien ce qui se passe ici, dit Gilles.
Élodie jouit et Gilles la suivit rapidement. Élodie le remercia. Gilles lui remit ses rondeurs en place puis lui fit signe de se relever.
— Maintenant, allons retrouver tes invités, qui doivent se demander ce que nous faisons.
— Euh… mais…
— Oui ?
— Je… je dégouline carrément. Je ne vais pas y aller comme ça.
Gilles sourit, prit un chiffon dans une armoire et essuya les cuisses et l’intimité de sa compagne.
— Ça va mieux, comme ça ? demanda-t-il d’une voix coquine.
— Oui, merci, ...