La Gobeuse 03
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... L'assistante finit en premier, elle s'assit pour respirer profondément l'air qui lui manquait cruellement tout en pleurant un peu. L'épreuve pour la pauvre analyste semblait ne jamais devoir finir. Mais finalement, il ne lui resta plus qu'une gorgée à avaler, juste au moment où elle ne put s'empêcher de vomir. Tout le contenu de son estomac se déversa sur elle. Elle ne se pencha pas comme je l'aurais fait ; elle baissa juste un peu la tête pendant que, vague après vague, tout lui sortait de la bouche. La pauvre chose n'arrêtait pas de s'excuser sans fin : « gomen nasai » « gomen nasai » en regardant ses cuisses sur lesquels était répandu son dîner, pas mal de saké, et une mer de sperme. Elle n'arrivait pas à lever les yeux, son humiliation était trop forte.
Cette vue me fit presque régurgiter et je remarquais que Norika et l'assistante luttaient elles aussi. Mademoiselle Yazuko se leva.
« La gagnante de cette épreuve est Madame Norika. Suzichan a gagné plus tôt. Ces deux filles resteront ici pour demain, pendant que les autres rentrent à Tokyo. Mais d'abord votre punition : vous recevrez chacune cinq coups de canne de votre patron. Mademoiselle Anna d'abord, pendant que Mademoiselle Yumi retire ses vêtements dégoûtants. »
Mademoiselle Yasuko conduisit la pauvre assistante contre l'une des tables basses et la poussa dessus. Elle lui fit agripper les bords éloignés et lui releva la jupe, révélant un cul bien lisse, les deux fesses séparées par sa petite culotte et ...
... entouré par le porte-jarretelles lui tenant les bas.
« À chaque frappe, si tu lâches un bruit, ou que tu relâches ta prise sur la table, un autre coup sera ajouté. Ne me déçois pas plus que tu ne l'as déjà fait. »
La pauvre femme ne fit pas un bruit et ne bougea pas un muscle, à part ses muscles fessiers qui se tendaient et se détendaient. Il y eut bientôt cinq vilaines zébrures sur son postérieur. On l'aida à se relever et elle fut autorisée à quitter la salle.
L'analyste était debout nue comme un vers dans une pièce ou tout le monde était habillé. Je savais combien cette sensation était humiliante, et à cela il fallait ajouter qu'elle avait échoué à accomplir la tâche qui lui avait été confiée. Elle pleurnichait silencieusement pendant que Mademoiselle Yasuko préparait la table.
Monsieur Takashita me fit passer un verre de brandy et resta près de moi, une main gentiment posée sur mon épaule. J'absorbais son approbation comme une plante absorbe la lumière, aussi pathétique que ça puisse paraître. J'avais besoin que quelqu'un m'apprécie.
Cela ne se passa pas bien pour l'infortunée fille. Elle reçut une douzaine de coups vicieux avant que Mademoiselle Yasuko n'en compte cinq de valide. Son pauvre derrière était quadrillé de cruelles lignes rouges. J'estimais qu'il faudrait des semaines pour que cela s'efface un peu.
Toujours entièrement nue elle fut autorisée à s'en aller, puis Mademoiselle Yazuko s'adressa à moi et à Norika :
« Vous pouvez vous partir ...