La Gobeuse 03
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... qu'il voulait vraiment son club de golf. Il tint le bol sous ma bouche pour que je puisse cracher la grosse masse de sperme et de salive.
Je remarquais que Norika et l'assistante personnelle en étaient déjà à leur second chibre quand j'ouvrais la bouche pour sucer la prochaine bite pressante. Mon esprit de compétition avait pris le dessus, et je m'y employais comme un diable : j'étais une vraie machine à sucer des queues lancée à fond. Pour le dernier membre, Monsieur Takashita s'avança. J'avais rattrapé Norika et laissé les autres derrières. Je connaissais maintenant parfaitement sa bite, je savais ce qui lui faisait plaisir et comment jouer avec. Il jouit en moins d'une minute et je finis juste devant Norika. Nous restions là, suspendues, à reprendre notre souffle pendant que les deux autres finissaient leurs hommes. Ma mâchoire et mes muscles de langue étaient victimes de crampe. Pendant ce temps il y eut des acclamations dans mon équipe, et les hommes félicitaient Monsieur Takashita. Je réalisais que, pour autant que l'entreprise soit concernée, j'étais sa protégée. Si je me débrouillais bien, cela le mettait en valeur et il se faisait bien voir. Moi par contre, j'étais complètement ignorée. Mes bras commençaient à me faire mal lorsque Mademoiselle Yasuko finit par arriver et par nous détacher de nos menottes.
« Nettoyez vos bols les filles! »
Là-dessus, on leva nos bols en verre, penchâmes nos têtes en arrière et versâmes ce qui y était contenu dans nos ...
... bouches ouvertes. Du coin de l'œil, je vis Norika le faire sans aucun effort, elle ne semblait même pas avoir besoin d'avaler ; tout tombait directement dans sa gorge. Derrière je pouvais voir que l'analyste luttait pour tout consommer.
« Partez, et allez-vous changer pour dîner les filles, » nous dit Mademoiselle Yasuko, pas méchamment. Visiblement nos performances ne l'avaient pas contrariée.
*****
On se doucha rapidement, nous remîmes du maquillage et on s'habilla de nos costumes de ville avant de rejoindre les hommes pour le dîner. Pendant ce temps, ils avaient eux aussi changé de vêtements et portaient des tenues plus décontractées, enfin... décontracté selon le point de vue de grands directeurs japonais.
Le dîner fut servi par une jolie femme en kimono onéreux et la nourriture était ce qu'il y avait de mieux au Japon. Il y avait aussi beaucoup de saké, je n'en pris que deux petites coupes, préférant plutôt m'abstenir de boire. Je savais qu'il y avait une seconde épreuve ce soir... Je remarquais que l'analyste en investissements buvait pas mal, probablement pour se calmer les nerfs.
Les hommes à ma table faisaient tous partie de mon "équipe" et étaient d'une politesse et d'une courtoisie scrupuleuse. C'était bizarre de se rappeler qu'une petite heure plus tôt, ils me baisaient la gueule avec enthousiasme. Monsieur Takashita était visiblement fier de moi, et cela me faisait me sentir bien. C'était comme si j'étais devenue dépendante de l'approbation des ...