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La Gobeuse 03
Datte: 03/04/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica
... pieds, et quelqu'un m'apporta une robe de bain bien douillette. Les portes menant sur la terrasse furent ouvertes et on s'y avança. La terrasse surplombait une vallée boisée montagneuse. C'était d'une beauté à couper le souffle et un autre verre de saké me fut apporté par M. Takashita qui rayonnait de fierté pour moi. Les hauts cadres s'assirent tous dans des chaises longues pendant que les filles apportaient des rafraîchissements. À la commande de mon patron, je m'assis sur l'accoudoir de sa chaise. Il écarta ma robe à moitié pour que mes seins soient visibles. Je ne songeais même pas à résister. « Un cadeau pour la gagnante! » Mademoiselle Yasuko me fit passer une boîte à bijoux qui était en elle-même une œuvre d'art. À l'intérieur, il y avait attaché à une chaîne en or un magnifique jade en forme de grue en train de voler. On me la passa autour du cou et la pierre froide se lova entre mes deux seins. Je comprenais maintenant pourquoi ils devaient être visibles. Cela devait valoir une fortune : des milliers de dollars tout au moins. « Et la punition pour la perdante! » la pauvre Norika fut amenée de la salle jusqu'à la terrasse. Elle portait toujours son costume fichu et pleurait ouvertement. Elle murmurait continuellement : « non, non ». Elle fut poussée sur une sorte de large pouffe et ses mains furent attachées au bas de ses jambes. Cela me semblait étrange puisque d'habitude une partie de l'amusement pour ces hommes était de nous forcer à nous soumettre sans ...
... nous contraindre physiquement. Puis la raison en devint claire. Du coin du bâtiment, trois gros chiens Tosa furent amenés. Si vous n'en avez jamais vu, ils ressemblent à un mélange de dogue allemand et de bulldog. Ils n'allaient quand même pas...? Mais si. Le maître-chien était une femme habillée dans le style des paysannes japonaises. Horrifiée je la regardais alors qu'elle s'agenouillait pour graisser le pénis du premier animal et que Mademoiselle Yazuko retroussait la jupe de Norika pour lui retirer sa culotte. J'aurais voulu aider mon amie, crier "Stop", mais à la place je restais immobile sur l'accoudoir. Je regardais mon patron espérant trouver quelque chose à faire, mais il semblait aussi avide que les autres à assister au spectacle à venir. La queue de l'animal était maintenant rouge et en érection, aussi grosse que celle d'un homme mais avec un nœud de la taille d'une balle de tennis à sa base. À la commande de la propriétaire, il sauta posant ses pattes sur le pouf de chaque côté des épaules de la pauvre victime. Un gémissement horrible sortit de la gorge de Norika alors que l'organe bien lubrifié de la bête glissait dans sa chatte. Je ne pouvais pas le supporter et regardais ailleurs, me concentrant sur mon patron comme si je devais lui apporter une attention servile. Lui regardait fixement le chien baiser furieusement mon amie et ne remarqua pas mon désarroi. Il avait manqué de si peu que ce soit moi qui se retrouve sur le pouffe... Une partie de moi ...