La Voyageuse Solitaire
Datte: 02/04/2020,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
jardin,
voyage,
autostop,
fsoumise,
cérébral,
revede,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
orties,
journal,
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... de nous prendre en stop et qui avait envie de voir des troglodytes. Et tu crois pas, Julien, qu’on est un peu trop grands pour jouer encore aux Indiens ?
Voilà que je les intimide, soudain, et qu’ils sont disposés à me respecter. Je suis tellement plus âgée qu’eux, à leurs yeux.
— Mais si, c’est très amusant de jouer aux Indiens. Je suis la fille du commandant de Fort Apache, la fiancée innocente d’un jeune lieutenant de cavalerie. J’allais le retrouver, vous avez attaqué la diligence et tué les soldats de mon escorte. Vous êtes de terribles Indiens. Je suis en votre pouvoir, faites de moi ce que vous voulez.
Humble et soumise, je regarde le chef. Il est beau gosse, solide de ses vingt ans, le regard clair, jambes et bras musclés.
— Femme blanche, combien y a t-il de cavaliers à Fort Apache ?
— Je ne parlerai pas.
— Qu’on l’attache au poteau de torture.
Ils me plaquent contre l’échelle, me disent de lever haut les bras, qu’ils lient à un barreau. Cette position met grandement en valeur mes seins dont les pointes sont fermement érigées, à en percer le tissu de mon chemisier que les garçons n’ont même pas besoin d’ouvrir pour se régaler du spectacle.
— Il faut aussi lui attacher les chevilles, dit l’un d’eux. Elle pourrait nous donner des coups de pied quand nous la fouetterons pour la faire parler. Que les squaws aillent chercher des orties !
La fille en bikini disparaît aussitôt. L’autre se rapproche un peu plus de son compagnon et lui tend ses ...
... lèvres, déjà jalouse. Mais deux garçons sont à mes pieds, caressant mes chevilles. Oseront-ils monter leurs mains plus haut, les glisser sous ma jupe, frôler l’intérieur de mes cuisses, tâter l’humidité torride de mes lèvres collées au slip que je regrette tant d’avoir gardé, car ils n’oseront peut-être pas franchir de leurs doigts ce dérisoire obstacle ? De leurs doigts d’abord…
— Redoutables guerriers, je vous promets de ne pas bouger et de ne pas m’évader. Ne liez pas mes chevilles à cette échelle, pensez plutôt à les écarter, à palper mes genoux, et plus haut, plus haut… Ouvrez ma jupe, laissez-la glisser à terre. L’un de vous dispose bien d’un couteau, qu’il coupe mon slip sur mes hanches, qu’il s’attaque à mon chemisier de soie, je veux être votre douce captive nue.
La fille revient avec une poignée d’orties.
— Je vais m’occuper des nichons de cette salope.
Les orties provoquent de blanches boursouflures, longues à disparaître, mais vos lèvres mettront fin à cette irritation, jeunes gens, et vos mains vont courir partout sur mon corps. Détachez-moi, attachez plutôt vos deux squaws à ma place, pour que le feu de la jalousie les consume pendant que vous jouirez de votre captive et qu’elle jouira de votre jeunesse. Elle est à vous. Prenez entre vos dents les pointes de ses seins, mordillez-les un peu, jouez avec sa vulve entrouverte et son clitoris bandé. Et clouez-la au sol…
— De l’autre côté du pont, c’est le château de Montsoreau. Un peu plus loin, tout un ...