Hypnose Mécanique 11
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... fou!
- Non, pas du tout, si je l'étais, crois-moi, je serais bien pire avec toi. Autre chose, tu ne pleureras pas pendant le moment où tu proposera tes services, tu seras sincère. Je ne vais pas tarder, à partir appui toi contre le mur, que je te défonce le vagin.
Pour Aurélie, les jours vont se suivre et se ressembler. Du viol, du viol et encore du viol. Tout est huilé. Le matin et la journée c'est les malades d'un pavillon du quartier de haute-sécurité qui la prennent. Elle tourne parmi les pavillons en faisant un différent tout les jours. La nuit et au réveil c'est le personnel qui s'occupent d'elle. Elle dort et mange avec une bite dans son corps. L'enfer s'annonce sans fin pour elle. Jonas à réussit sa vengeance.
Je suis partis en sifflotant, je me suis bien vider avec Aziza. Avec ce que je lui ais ordonné, je ne la toucherais plus, trop de risque de maladie. Mais bon, ce n'est pas un problème. Je peux avoir toutes les femmes que je souhaite. Je me dirige vers ma voiture quand mon téléphone sonne, c'est Radiu. Je décroche.
- Allô Radiu, un problème?
- Hello Jonas, non aucun. J'ai besoin de te voir, si tu peux passer au bar.
- C'est pourquoi?
- J'ai un de mes clients qui voudrait te voir.
- C'est qui?
- Pas au téléphone, passe au bar.
- OK, j'y suis d'ici trente minutes maxi, à de suite.
Siobanne éteint la télé à son grand regret. Comme souvent, il y a trop de clients pour les filles. Enfin, ce n'est pas trop le nombre qui est gênant, ...
... mais le temps d'attente. Alors comme souvent, Siobanne s'occupe des fellations. Elle déteste cela, mais il faut bien faire plaisir à Jonas. Il faudra qu'elle lui parle d'embaucher d'autres filles. Elle en connaît certaines qui sont de la haute-bourgeoisie comme sa famille.
Aziza est sortie de suite après mon départ. Elle est allée s'acheter des vêtements de putes. Au passage, elle a demandé à se faire sodomiser par le patron de la petite boutique. Il ne s'est pas fait prier, il a fermé le magasin et il l'a enculé dans la cabine d'essayage. La jeune femme est en enfer, elle suit les ordres sans qu'il lui soit possible de résister. Elle ne sait pas ce qu'il se passe, mais une chose est certaine, le purgatoire, pour elle, c'est maintenant.
Mario Rocantri regarde ses clients, il a soixante deux ans. Il y trente ans quand il a acheté le bar, le quartier était joli, petit bourgeois. Aujourd'hui avec la croissance exponentielle de la ville, c'est un quartier pauvre, voir très pauvre. De la racaille, des vieux, des alcoolos. Une sacré clientèle. Ce qui le fait tenir, c'est que même si c'est prix sont bas, le nombre de clients et le fait qu'ils soit de plus en plus à être au chômage, lui assure des revenus croissant. Encore un an ou deux et il pourra prendre sa retraite avec un joli pactole, et ce même si il ne vend pas son bar. Pou l'instant il est tranquille, il n'y a qu'une petite vingtaine de client sur la terrasse et dans le bar. Son serveur gère tout facilement sans avoir ...