1. Jeux entre frères (13)


    Datte: 01/04/2020, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... le premier qui parlait pour monter devant dans la voiture avait la place. Alors que nous nous approchions de la Fiat 500 dernier model de Maman, je m’exclamais :
    
    — C’est moi qui monte devant !
    
    — M’en fous, je vais dormir car je n’ai pas dormi durant le trajet ; n’est-ce pas frangin !
    
    Maman ne releva pas, nous nous sommes installés dans la voiture ; et elle démarra. Pendant que nous roulions, j’étais hypnotisé par la vue des cuisses de ma mère dont la minijupe impudique était remontée très haut, et j’aperçus furtivement le tissu noir de son string. Je savais qu’elle ne portait que ça.
    
    Au bout de deux ou trois kilomètres, je jetai un coup d’œil derrière ; mon frère dormait déjà. Je profitais de l’instant où Maman, arrêtée à un -stop- regardait sur sa gauche, le temps de vérifier que personne n’arrivait, pour remonter les jambes de mon short très haut et je tirais sur mon sexe pour qu’il arrive à la limite du tissu. Maintenant il me restait plus qu’à espérer qu’elle s’en aperçoive.
    
    — Alors Antoine, ces vacances ; raconte ?
    
    — Non toi d’abord, tu as dit que tu avais des surprises ; c’est quoi ?
    
    — Ah, ah ! Tu veux tout savoir ?
    
    — Bah, oui !
    
    — Et bien vous allez trouver du changement à la maison, comme ton père a récupéré la chambre à coucher, j’en ai acheté une autre mais plus belle. Et puis j’ai fait du rangement et du ménage.
    
    Elle posa sa main sur ma cuisse nue, me regarda. Mon cœur tapait dans ma poitrine, allait-elle regarder ? Avec un sourire ...
    ... au coin des lèvres, elle refixa rapidement la route et continua :
    
    — Et surtout dans ta chambre…
    
    — …
    
    En disant cela, elle me serra la cuisse, et une bouffée de chaleur m’envahit, mes tempes cognaient à tout rompre. J’étais mal à l’aise mais excité car je sentais mon sexe gonfler. Elle déplaça sa main vers le haut de ma cuisse et se mit à me la caresser doucement.
    
    — Tu as de la chance d’avoir une peau toujours aussi douce, mon chéri ; l’air de la montagne et l’eau de la cascade ont dû te faire le plus grand bien.
    
    — Oui, s’était chouette.
    
    Sa main n’était plus qu’à deux centimètres de ma queue, je commençais à bander ; le sang afflua jusqu’à mes oreilles. Elle détourna son regard de la route et me scanna de la tête aux cuisses, il était obligé qu’elle voie le bout de ma queue. Elle me sourit et détourna son regard.
    
    — Tu as entendu ce que je t’ai dit ?
    
    — Oui, Maman.
    
    Dans ma tête il y eut comme un éclair :
    
    « Oh, putain, les strings ! Elle les a trouvés ! Je suis mal ! » pensai-je.
    
    En effet, je lui en avais dérobé deux dans la panière à linge. De temps en temps quand j’étais seul, je me déshabillais entièrement, j’enfilais un des strings puis je me caressais à travers la dentelle du minuscule triangle noir ou rouge suivant lequel j’utilisais. Je bandais très rapidement et mon vit sortait par le haut de la ceinture tandis que mes couilles s’échappaient et sortaient en bas du triangle de tissu ; cela finissait toujours par une belle branlette dans le ...