Soir d'orage
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
copains,
vacances,
campagne,
confession,
Auteur: Steve, Source: Revebebe
... au bord du précipice et a fait un pas en arrière, venant buter contre moi. Je l’ai de suite entourée de mes bras pour éviter qu’elle ne tombe.
Immédiatement, je l’ai sentie s’abandonner contre moi et nous sommes restés immobiles, collés l’un à l’autre, sans parler, avec pour seuls bruits les grondements au loin. Je n’osais pas bouger, j’étais bien, elle aussi était immobile, blottie contre moi.
Mais, bien évidemment, mon sexe ne l’entendit pas de cette oreille. Avec ce corps chaud et ferme tout contre lui, il se mit à gonfler immédiatement, il devint dur comme fer. Je ne savais que faire, que dire, elle devait certainement le sentir, que devait-elle penser ? J’avais peur d’un scandale, d’une gifle, de reproches…
Mais elle ne bougeait toujours pas, puis sa tête vint se poser contre ma poitrine, je la sentis se laisser aller complètement. Mon sexe était devenu dur à éclater, il me faisait presque mal. Elle se mit à remuer les hanches très doucement, elle se frottait le long de ma barre !
Encouragé et rassuré ! Mes mains se mirent à la caresser doucement, pas de rebuffade. Elles se déplacèrent vers ses seins, toujours pas d’objection ; je me mis à les caresser doucement. Elle ne portait pas de soutien-gorge, je commençai à apprécier ses formes bien fermes. Ses fesses remuaient de plus en plus, je passai mes mains par l’échancrure de sa robe et me mis à caresser ses seins à pleines mains, à jouer avec ses mamelons devenus durs et pointus. Elle se mit à gémir ...
... doucement, elle appréciait mes attouchements. J’étais très doux, très lent, très léger, j’avais peur de rompre le charme. Je descendis lentement une main le long de ses jambes, sa peau était si douce, je commençai à remonter sa robe lentement, très lentement, jusqu’à la retrousser. Sa peau était tellement douce, mes doigts se mirent à jouer avec son slip, il était trempé. Ils fouillèrent délicatement son intimité, elle gémissait et soupirait de plus en plus profondément. Je baissai sa petite culotte, elle dégagea une jambe. N’y tenant plus, je baissai mon short et mon slip et je lui mis ma verge le long de son sexe puis je commençai à la masturber en la faisant coulisser à l’extérieur. Sa respiration s’accéléra encore, ses gémissements devinrent de petits cris et elle eut un orgasme assez rapidement. Je restais immobile, la laissant reprendre son souffle. Elle semblait inerte contre moi, mais elle saisit ma verge et la présenta à l’entrée de sa grotte où je fus littéralement englouti en un instant. C’était merveilleux, c’était chaud, c’était tendre, c’était humide, c’était doux, c’était… trop bon ! Elle se pencha légèrement en avant pour me permettre de la pénétrer jusqu’au fond. Je me mis à effectuer de longs va-et-vient, elle se remit à gémir et haleter de plus en plus vite, je sentis mon plaisir arriver, de loin, puissant, incontrôlable. Je savais que je ne pourrais le retarder, même si je voulais que cela ne s’arrête pas… Mais je me déversai en elle en longues saccades alors ...