Anna : jeune vierge initiée par son beau-père (11) - Histoires de Sexe

Anna : jeune vierge initiée par son beau-père (11)

Anna et Raymond se donnaient rendez-vous trois fois par semaine, dans le garage. Au bout de 15 jours de plaisir, Anna et Papy Raymond n’envisageaient pas de s’arrêter là. Anna découvrait l’agilité de la langue de celui qu’elle appelait maintenant, son papy chéri. Sa mère n’était pas au courant et elle redoutait qu’elle se rende compte de ses infidélités à son beau-père Paul.

Anna descendit comme d’habitude rejoindre Papy Raymond. Il l’attendait assis sur la table au fond du garage. Il avait tout recouvert d’une épaisse couverture. Dès qu’il la vit, il sourit. Elle l’embrassa pendant qu’il fouillait sous sa jupe. Elle était encore descendue avec une minijupe rouge moulante, les fesses nues, et un chemisier blanc, les seins libres. Il adorait ça. Elle sentit le membre déjà dur contre son ventre. Elle mouillait déjà beaucoup, excitée à l’idée de se faire tripoter.

— Ma jolie chaudasse, tu mouilles déjà comme une folle.

Il porta deux doigts humides de mouille à ses lèvres et lécha doucement chacun. Anna lui sourit et vint l’embrasser, introduisant sa langue dans la bouche de son papy. Puis, elle déboutonna lentement son chemisier dévoilant ses jolis seins au bout sombre. Anna remonta ensuite sa minijupe sur ses hanches dévoilant sa fente qu’elle caressa un instant en gémissant. Papy Raymond la regardait le regard lubrique. Elle entreprit de défaire le pantalon et sortit le membre vigoureux et long qu’elle caressa lentement en le regardant.

Anna passa doucement deux ...

... doigts sur sa fente pour recueillir de la mouille puis elle vint tartiner le bout du gland avec. Papy Raymond grogna quand elle se mit à caresser les couilles pleines et rondes, tout en jouant avec le gland lentement.

— Tu es une vraie chienne en chaleur ma chérie, je ne pensais pas que tu serais aussi bonne en te matant par ma fenêtre. J’ai rarement pu tripoter des chiennes aussi coquines.

— J’aime le cul mon papy chéri. Je mouille facilement et j’aime me faire saillir par une bite longue ou large. J’avoue que la tienne est bien vigoureuse et expérimentée. Tu me donnes des coups de langue incroyables et mon clitoris en devient accro. J’ai envie de te faire plaisir.

Anna se pencha et embrassa les couilles en relevant ses fesses pour que son papy puisse se rincer l’œil. Puis, elle embrassa le sexe en érection. Elle prenait son temps et Papy Raymond était de plus en plus excité. Elle joua d’abord avec le gland puis mordillait et embrassait en redescendant à la base. Enfin, elle se mit à donner des coups de langue, en sortant juste le bout de sa langue. Papy Raymond était fou. Le sentant bien chaud, le membre bien gonflé, Anna s’allongea sur la table sa fente ouverte vers Papy Raymond. Il pouvait voir l’intérieur de ses lèvres humides et gonflées. Elle se caressait les seins et entreprit de se caresser la fente en se doigtant. Anna gémit doucement au risque d’attirer l’attention d’un voisin de passage. Papi Raymond voulait que sa petite chienne en chaleur le déguste ...