1. L'esprit d'escalier


    Datte: 31/03/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, jeunes, voisins, profélève, nympho, grosseins, collection, fsoumise, fdomine, hdomine, contrainte, massage, entreseins, Oral fgode, pénétratio, double, fsodo, jeu, sm, attache, bourge, hff, Auteur: Solario, Source: Revebebe

    ... le salon.
    
    — Brigitte et moi étions ensemble au pensionnat. Je n’ai pas trouvé les mots pour lui présenter notre… pour lui décrire la… situation. C’est la seule de mes connaissances assez excentrique pour peut-être… enfin, tu comprends ?
    — La plus salope de tes amies, c’est ça, ajoutais-je en lui collant ma main sur la chatte et en la massant du bout de mes doigts.
    — Mmmm, oui, mais je ne pense pas qu’elle… Ohhh, arrête !
    — Tu ne sais rien de scabreux à son sujet ?
    — Non, enfin… une rumeur courait à l’époque au pensionnat, une histoire avec une fille appelée Gwendoline. On les avait surprises en train de jouer à touche-pipi, je crois. Je ne sais pas pourquoi je lui ai raconté que tu étais un masseur exceptionnel, sans doute pour que tu puisses facilemmmmm… – arrête, laisse ma chatte tranquille ! – pour que tu puisses…
    — La toucher ? dis-je en prenant dans mes mains les seins d’Hélène.
    
    Elle se dégagea, se recoiffa dans la glace avant de me faire passer au salon où une femme du même âge qu’elle nous attendait, une tasse de thé à la main. Les cheveux teints en un roux foncé, de grandes lunettes en amande, Brigitte n’était pas très jolie mais assurément pulpeuse : de gros seins et un gros cul appétissants. Ses vêtements un peu trop petits pour ses formes pleines, et quelques détails excentriques comme ses pendants d’oreille fluos et son sac à main de midinette me laissaient pour je ne sais quelle raison un léger espoir.
    
    Je savais donc qu’Hélène et elle s’étaient ...
    ... connues au pensionnat et m’imaginais une mère supérieure salope nymphomane qui abusait de ses élèves pas si sages, quand soudain Brigitte me demanda.
    
    — Et vous Jean-Baptiste, où avez-vous suivi vos études de massage, en Orient ?
    — En Chine. J’ai vécu là-bas avec mes parents qui étaient diplomates. J’ai commencé à huit ans (plus c’est gros plus ça passe me dis-je).
    — Vraiment ? Comme c’est intéressant ! Hélène m’a parlé de votre talent au téléphone. Elle a insisté pour que je vienne et que vous me parliez de votre art. Il parait que vous êtes épatant.
    — Hélène vous a dit ça ?
    — Oui, pourquoi ?
    — Et vous êtes tentée ?
    — Eh bien… un peu oui, avoua-t-elle en rougissant, même si Hélène et moi, bien que pensionnaires à Sainte-Clotilde ensemble, n’avons jamais été vraiment amies, et c’est la première fois qu’elle…
    — Qu’elle vous appelle depuis que vous avez quitté le pensionnat, c’est ça ?
    
    Hélène tremblait légèrement, confuse et gênée par la situation. Peut-être plus encore par ce qui risquait d’arriver, ou de ne pas arriver.
    
    — Eh bien, c’est très étonnant, dis-je.
    — Que… Quoi donc ?
    — Qu’Hélène ne vous ai pas appelée avant. Elle me parle souvent de vous.
    — Vraiment ?
    — Oui, tout à fait. « Brigitte est une fille formidable, belle et pleine de vie », « Brigitte ne ferait pas ça comme ça », « ce vêtement irait si bien à Brigitte ».
    — Ah ? eh bien, je dois vous avouer que…
    — Ça vous étonne ? Pourtant, je trouve qu’Hélène a raison, vous êtes très belle. Vous n’êtes pas ...
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