Ascenseur de la sexualité
Datte: 31/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... baiser s’éternise, devient plus langoureux, Jean semblant découvrir la chaleur du corps de sa femme.
C’est con, mais maintenant c’est moi qui regarde. Je regarde ce couple qui se redécouvre. Ce baiser qui se prolonge ne peut que révéler l’odeur âcre de mon foutre, qu’ainsi mari et femme partagent. Les mains du mari qui explorent le corps de sa femme, maîtresse encore chaude de moi, doivent aussi découvrir des humeurs que j’ai abandonnées.
Véronique arrache littéralement la chemise de Jean. Ils sont peau contre peau, et j’imagine les seins pointés sur le torse de l’homme.
Mais la femme continue.
Une ceinture.
Un zip.
Un pantalon qui descend.
Un slip qui apparaît pour aussitôt suivre le chemin du pantalon, laissant voir un sexe bien tendu. Il doit être tendu depuis un long moment si son aveu de mari candauliste est vrai.
C’est Véronique qui le guide vers le canapé. C’est elle qui le pousse, et aussitôt qu’il est assis, tire sur pantalon et slip afin de libérer l’homme de ces entraves.
Je la regarde. Je suis fier, même si le terrain était favorable, en jachère mais prêt à libérer toute sa puissance à la moindre sollicitation.
Je la regarde et je la vois. Je l’accompagne par la pensée alors qu’elle gobe la queue de son mari, lui arrachant des gémissements. Ma bite est bien trop longue pour cela mais celle du mari doit lui paraître une friandise abordable et qui trouve le chemin de sa gorge. Est-ce qu’elle se rend compte que c’est un regard de salope ...
... accomplie qu’elle offre à Jean alors que ses lèvres butent sur les couilles ?
Elle est belle. Elle le suce. Elle le pompe. J’entends avec délice le bruit de cette salive généreuse qu’elle libère pour envelopper mandrin et gland d’une gangue perverse.
Mais Jean, excité depuis un long moment, ne peut se retenir ; et lorsqu’il jouit, c’est une délivrance. Il la regarde, encore étonné de voir cette épouse si coincée aspirer son jus, sa crème en préparation depuis qu’il jouait les voyeurs.
Mais Véronique n’en a pas fini avec lui. De quelques coups de langues vicieux et d’un doigt qui manifestement trouve le chemin du cul de Jean, relançant une érection bienvenue, elle se retrouve avec une bite neuve. Elle se relève et, l’enjambant avec grâce, vient s’empaler sur la bite maritale.
Ils sont face à face. Mais les masques sont tombés. La femme adultère devenue addict du cul, et le mari cocu, mais si content de son état qu’il en bande de plaisir.
Elle ondule comme elle sait si bien le faire. Il y a peu, c’est sur mon dard qu’elle se baisait.
Elle est belle.
Ils sont beaux dans cette posture si parlante. Elle le domine. Elle s’est donnée à son amant, et maintenant cela lui paraît naturel de chevaucher son mari.
Je sens mon mandrin revivre. Leur spectacle m’excite et je bande. Ma tige sombre encore alourdie de son propre poids se redresse pour se montrer horizontalement dans toute sa splendeur. Je suis à quelques pas d’eux, mais l’homme me voit ainsi. D’un geste ...