1. Mon cul chez les nudistes


    Datte: 30/03/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Albin Thai, Source: Hds

    Les plages nudistes, sont aussi un terrain de chasse intéressant. Je l'ai découvert lors d'un voyage aux Antilles. Je sais que mon cul inspire les hommes. Dans un premier temps, je ne savais pas où j'étais. Un gars est venu s'allonger près de moi. Au bout de quelques minutes, il ma tape sur l'épaule.
    
    - Il faut enlever ton maillot ! Dit-il sur un ton impérieux.
    
    - Pourquoi ?
    
    - Parce qu'ici on en porte pas, et aussi parce qu'avec un cul comme le tien, on le montre !
    
    - Il te plaît mon cul ?
    
    - Si t'étais d'accord, je dirais pas non !
    
    - Tu veux me sauter ?
    
    - Pourquoi pas ?
    
    - T'es gay ?
    
    - Et toi ? Pour moi, un cul, c'est un cul. Si je veux une femme, je baise sa chatte, quand je veux un cul, je choisis celui qui me plaît le plus. Et le tiens, bordel ! J'en avais jamais vu de pareil chez un mec. Bon, assez parlé ! Tu veux ma queue ou pas ?
    
    - J'ose plus refuser...
    
    Le gars se lève, et me prends par la main.
    
    - Marche devant moi, que je me rince l'oeil !
    
    Il me rattrape et me caresse les fesses.
    
    - Putain, ferme et lisse, j'en reviens pas !
    
    Il prends ma main et la pose sur son sexe. Il est raide et dur.
    
    - Tu vois l'effet que tu me fais ? Il va falloir que tu mettes un slip !
    
    - Faudrait savoir ?
    
    - Et le plaisir de te l'arracher !
    
    On entre dans un bungalow. Je n'ai pas le temps de voir le décor. Le gars agrippe le slip que je venais de passer et me pousse violemment vers un canapé. Le tissu cède, et je me retrouve à poil. Il me saute ...
    ... dessus et m'aplatis sur le sofa. Les deux mains sur mes épaules, son sexe cambré, cherche et trouve son chemin. Dun coup de reins, il l'enfonce dans mon cul. Je relève la tête, aspirant très fort, l'air qui commençait à me manquer. Le gars donnait de furieux coups de reins. A croire qu'il voulait me transpercer le cul. Il tenait ma pine dans sa main, et me branlait vigoureusement. Quand j'ai joui, c'est lui qui s'est baissé pour recueillir le sperme dans sa bouche.
    
    Il prit ma tête dans ses mains, et me fit promettre de se revoir. Il était tellement sugjugué par la beauté et la fermeté de mon bas du dos, qu'il s'est fait muté près de chez moi.
    
    Une fois là, il était dans mon cul toutes les nuits. On ne pouvait pas rester aux Antilles. Là-bas, il passait pour un homme à femmes.
    
    Il le resta, sauf qu'il me partagea avec elles. Elles le jour. Moi la nuit !
    
    Je ne sais pas comment il faisait, chaque fois qu'il me sautait, j'avais l'impression que sa queue grossissait. Chaque fois, je prenais un plaisir sauvage. Sachant que c'était impossible, je devais reconnaître, que c'était dû à la violence dont il faisait preuve à me bourrer le cul. Il était dans la force de l'âge. J'allais profiter de sa vigueur, pendant un bout de temps encore.
    
    Quand on se met devant la glace, de temps en temps, je me dis qu'un beau cul est quand même sublimé par la taille du sceptre qui le pourfend.
    
    Un jour pourtant, il me proposa une chose étrange. Il voulait me partager, au moins une fois ...
«12»