Un samedi avec Claire
Datte: 30/03/2020,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Partouze / Groupe
Auteur: LinoB1984, Source: xHamster
... sexes étaient un peu endoloris. Mais la nuit n’était pas finie…
Claire sentait la bite, le foutre et la transpiration. Elle m’annonça qu’elle allait prendre une douche et me demanda si j’étais en forme après ce marathon. J’étais encore prêt pour elle, bien sûr…
Après sa douche, j’entendis un petit cliquetis venant de la salle de bain. La porte s’ouvrit et Claire m’apparut, à genoux. Elle avait ouvert la porte en prenant la poignée dans sa bouche. Ses mains étaient dans son dos, menottées. Elle portait un ensemble de lingerie bleu, qui allait de sa chatte aux épaules…
Elle me demanda de sortir le bandeau de son sac et je m’empressai de lui mettre. Allongée sur le dos, la tête sur le rebord du lit, elle était de nouveau à moi.
Avec le bandeau sur les yeux, elle ne savait pas précisément ou je me trouvais… Allongée sur le lit, cuisses écartées, mains dans le dos elle attendait un mouvement de ma part, une respiration, un geste.
Je restais silencieux, debout à côté du lit, droit et dur, contemplant ce morceau de chair ficelé, livré à mes envies. Elle ne pouvait se plaindre de rien, elle avait amené le matériel nécessaire pour se rendre totalement sans défenses… Je sentais un peu d’inquiétude dans sa respiration, après tout elle ne me connaissait pas… Je lui fis alors un petit discours d’introduction en me déshabillant (je voulais quand même lui annoncer le programme…:
« Et voila, jolie Claire tu es à ma merci… tu espérais peut-être te faire dominer et bien tu ...
... vas comprendre le sens de ce mot, je vais faire de toi une chienne, littéralement. Pas la peine de parler, gémis ça suffira. Je vais te retourner, te baiser par tous les trous, t’explorer dans tes recoins et tu seras toute seule face à mon propre plaisir qui va devenir le tien… parce que tu es une grosse salope… »
J’étais moi-même étonné des phrases que je prononçais sous le coup de l’excitation.
Elle, ses seins pointaient. Elle avait été ragaillardie et étrangement rassurée par ce discours lubrique, et n’attendait que le moment ou j’allais l’investir. Elle passait sa langue sur ses lèvres et bougeait délicatement sa croupe de haut en bas, écartant au maximum possible ses jambes, de fait que je ne puisse que constater que sa vulve lisse était devenue un joli ruisseau de mouille. Une tache gluante était apparue sur le lit. J’observais son petit trou se contracter subtilement et ses belles jambes rétractées frissonnaient de désir.
Impatiente, ses gémissements avaient cédé la place à des paroles distinctes mais chuchotées.
« Viens, je suis ta pute, fourre moi, vas y, j’ai envie.. »
Ces paroles raidirent un peu plus les petits nerfs qui parsemaient ma verge et mon gland se violaça encore un peu…
Je décidai alors de la faire taire un peu en lui faisant gouter ma longueur dans toute sa raideur.
Elle continuait, imperturbable :
« Allez, qu’est ce que tu attends, prends moi, défonce moi, je veuumppfffhhh…… »
Elle ne finit jamais cette phrase, ma queue ayant ...