1. Un samedi avec Claire


    Datte: 30/03/2020, Catégories: Mature, Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: LinoB1984, Source: xHamster

    ... dans mes rêves les plus fous…
    
    Mais Claire me reprit en main alors que je m’étais redressé et que j’avais accolé mon gland à sa fragile barrière annale.
    
    « Non, pas tout de suite, j’ai envie d’autre chose… »
    
    Elle voulait profiter d’une bonne baise en levrette. J’exauçais alors le fantasme de ma brune. Sauf que cette fois j’allais la faire languir…
    
    Ma barre était redressée et surplombait sa chatte devenue fontaine. J’approchais avec précision mon pénis vers son trou à plaisir. J’avais décidé de m’y engouffrer avec la plus grande lenteur possible, lui faisant profiter de chaque aspérité de mon sexe dans son conduit…
    
    Claire gémissait, mais elle voulait tout, comme la première fois… Moi, imperturbable, je continuais ma plongée vers ses ovaires au rythme d’un escargot. Elle m’engueula presque quand elle me supplia de la baiser, elle ne tenait plus…
    
    Je ressortis doucement, avec le même rythme que mon insertion. Claire agitait son cul devant moi, sa croupe était prise de convulsion, elle voulait s’empaler sur mon organe qui avait pris la dureté du bois.
    
    Je poussais alors le vice jusqu’à me retirer intégralement du corps de cette petite salope… je sentais qu’elle n’en pouvait plus et qu’elle allait finir par se faire justice elle-même, en se masturbant frénétiquement…
    
    Je plaçais alors mon gland à l’orée de son vagin désespéré. Elle m’ordonnait désormais de la ramoner dans tous les sens, libérée de toute pudeur. J’engouffrais alors sans prévenir et sans aucune ...
    ... délicatesse mon sexe. Elle reçut mes 17 centimètres dans leur intégralité et sa bouche s’ouvrit : c’était la première fois que j’entendais une femme hurler de cette manière, ces râles venant du fond de sa gorge et illuminaient la pièce sombre. Sa bouche n’était pas prête de se renfermer car j’y glissais trois de mes doigts qu’elle suça avec une sauvagerie inouïe, sa langue nettoyant mes phalanges pendant que mes couilles continuaient de claquer violemment contre ses lèvres dégoulinantes.
    
    Pauvre Claire. Je la ramonais depuis cinq petites minutes et elle jouissait déjà… ses cris s’estompèrent peu à peu, son corps s’affaissa et devint mou, libéré de toute tension. J’en profitais pour sortir, le sexe dans la main pour arroser son cul que je claquais désormais. D’intenses giclées fouettèrent son petit trou replié sur lui-même. Elle se faisait repeindre couleur sperme, ses deux orifices devenant laiteux.
    
    Nous restions là. Pas encore repu mais beaucoup plus léger tous les deux. Nous discutions désormais de choses et d’autres, dans notre simple nudité. Soudain Claire regarda son portable :
    
    « Ah ! C’est l’heure… »
    
    Elle me demanda de me rhabiller. Elle en fit autant. Je devais la suivre sans poser de questions. Soit. Cela m’excitait cette prise d’initiative.
    
    Elle m’emmena dans un lieu dit « surprise ». Elle avait préparé une activité surprenante et inédite disait-elle. Je me laissais aller à la suivre hypnotiquement, repassant dans ma tête le film de nos récents ébats, sa ...
«1...345...11»